

Côte d'Ivoire : Bouaflé, manifestation des travailleurs qui réclament justice et équité à la mine d'or de Yaouré
les index.php/recherche?search=agent'>index.php/recherche?search=or'>ord'>agents mécontents
Depuis le mercredi 5 février 2025, les travailleurs de la société de sous-traitance EPSA-Ivoire, intervenant sur le index.php/recherche?search=sit'>site de la index.php/recherche?search=mine'>index.php/recherche?search=or'>ord'>mine d’index.php/recherche?search=or'>or de Yaouré à index.php/recherche?search=Angovia'>index.php/recherche?search=or'>ord'>Angovia, dans le département de index.php/recherche?search=Bouafl%C3%A9'>index.php/recherche?search=or'>ord'>Bouaflé, sont en index.php/recherche?search=gr%C3%A8ve'>index.php/recherche?search=or'>ord'>grève.
Cette mobilisation, marquée par un index.php/recherche?search=sit'>sit-in symbolique près du index.php/recherche?search=sit'>site minier, vise à dénoncer des conditions de travail jugées inéquitables et à exiger des améliindex.php/recherche?search=or'>orations significatives. Les employés, brandissant des banderoles rouges pour exprimer leur colère, réclament notamment le départ de la directrice des ressources humaines, le versement de primes de fidélité et de logement, ainsi que l’embauche définitive des travailleurs après six mois de service.
Les revendications des grévistes sont précises : une prime mensuelle de logement de 100 000 FCFA pour les ouvriers, 150 000 FCFA pour les index.php/recherche?search=agent'>index.php/recherche?search=or'>ord'>agents de maîtrise et 200 000 FCFA pour les cadres. Ils exigent également le paiement d’une prime de fidélité, qui, selon eux, a été injustement versée aux travailleurs expatriés mais pas aux employés locaux.
Gombleu Claver, délégué du personnel, a expliqué que cette index.php/recherche?search=gr%C3%A8ve'>index.php/recherche?search=or'>ord'>grève découle d’un profond sentiment d’injustice. Il a souligné que les travailleurs locaux attendent toujours le versement de cette prime, alindex.php/recherche?search=or'>ors que leurs collègues expatriés l’ont déjà reçue après deux ans d’ancienneté.
La index.php/recherche?search=sit'>situation s’est rapidement envenimée lindex.php/recherche?search=or'>orsque la direction a réagi aux revendications par des menaces, allant jusqu’à expulser les grévistes du index.php/recherche?search=sit'>site et désactiver leurs badges d’accès.
Il a ajouté que les travailleurs cherchaient simplement à comprendre pourquoi il y avait une telle disparité de traitement au sein de la même entreprise. Au lieu de répondre à leurs préoccupations, l’employeur a choisi de les menacer et de les exclure du index.php/recherche?search=sit'>site, ce qui a exacerbé le mécontentement des employés.
Malgré cette escalade, les grévistes restent ouverts au dialogue. Ils espèrent que la direction reviendra à la table des négociations pour trouver une solution mutuellement bénéfique.
Les grévistes ont insisté sur le fait que leur objectif a toujours été de résoudre ce conflit par le dialogue, et qu’ils sont prêts à discuter pour apaiser les tensions et trouver un terrain d’entente. Cependant, la direction des ressources humaines, qui avait promis de réagir par un communiqué dès le vendredi, n’a toujours pas pris de poindex.php/recherche?search=sit'>sition officielle à ce jour.
À la index.php/recherche?search=mine'>index.php/recherche?search=or'>ord'>mine, les tensions persistantes entre les travailleurs locaux et les expatriés dans le secteur minier, ainsi que les inégalités perçues dans les conditions de travail.
Alindex.php/recherche?search=or'>ors que les employés d’EPSA-Ivoire continuent de se battre pour leurs droits, l’issue de ce conflit reste incertaine, mais leur détermination à obtenir justice et équité ne faiblit pas.
Jean Chresus, Abidjan


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