Côte d'Ivoire
La 3e édition du Concours d’art oratoire en japonais dénommé « Speech Contest 2024 » a eu lieu, le samedi 16 novembre 2024, dans la salle du Japan Corner, sise à l’Université Félix Houphouët-Boigny. Cette activité a eu lieu en présence de S.E.M. IKKATAI Katsuya, Ambassadeur du Japon en Côte d’Ivoire et du Président de l’Université Félix Houphouët-Boigny.
Au cours de cet événement, l’Ambassadeur a rappelé qu’au niveau du nombre d’apprenants de la langue japonaise, la Côte d’ivoire se classe au 4e rang en Afrique subsaharienne et au 1er en Afrique de l’Ouest francophone.
Tout en énumérant quelques activités importantes de l’Ambassade en faveur de la promotion de la langue et des études japonaises, l’Ambassadeur a insisté sur le fait que son pays soutient fortement les efforts de la Côte d'Ivoire, qui est devenue la locomotive de l’enseignement du japonais en Afrique subsaharienne. Il en veut pour preuve, l’organisation du concours de l’année dernière qui a permis de voir les résultats de l’apprentissage du japonais pour chacun des candidats qui y ont participé. Il a annoncé qu’avec le soutien de la Fondation du Japon, un enseignant ivoirien a séjourné au Japon pour participer à un programme de formation en juin - juillet de cette année. Et en septembre, un autre ivoirien a bénéficié d’un programme de formation au Japon en la matière pendant deux semaines.
L’Ambassadeur s’est dit également heureux de présenter quelques grands axes des futures initiatives culturelles en terre ivoirienne, notamment le test d’aptitude de la langue japonaise « JLPT » de cette année qui aura lieu à Japan Corner à Abidjan le 1er décembre prochain, le don de livres liés au Japon par la Fondation du Japon, l’ouverture très prochainement d’un deuxième centre dénommé «Espace du Japon» dédié à la langue et aux études japonaises à l’université Alassane Ouattara de Bouaké, etc.
S.E.M. IKKATAI Katsuya a clos son propos en réitérant son ferme engagement à travailler sans relâche pour promouvoir la langue, les études et la culture japonaises, tout en espérant que les apprenants continuent à s’y intéresser davantage.
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