Burkina Faso - Mali-Niger : Le sommet de lAES, une « étape déterminante pour l'avenir » des trois pays
Les présidents du Mali, du Niger et du Burkina Faso (Ph)
Le président du Burkina, le Capitaine Ibrahim Traoré a estimé samedi que la tenue du premier sommet de l'alliance des États du Sahel (AES) qui regroupe également le Mali et le. Niger, constitue une " étape déterminante pour l’avenir de notre espace commun".
En effet, le capitaine a pris part ce samedi à Niamey aux côtés de ses pairs, le Général Abdourahamane Tiani et le Colonel Assimi Goïta, au 1er sommet des pays membres de l'Alliance des Etats du Sahel (AES).
«Ce sommet marque une étape déterminante pour l’avenir de notre espace commun. Ensemble, nous allons consolider les fondements de notre vraie indépendance, gage d’une paix véritable et d’un développement durable par la création de la Confédération "Alliance des Etats du Sahel », a écrit le Capitaine Ibrahim Traoré sur son compte X,
« L’AES regorge d’énormes potentialités naturelles qui, bien exploitées, garantiront un avenir meilleur aux peuples nigérien, malien et burkinabè », le souligne le président burkinabè.
Le capitaine Traoré séjourne depuis ce vendredi à Niamey, la capitale nigérienne, où se tient samedi, le premier sommet des Chefs d’Etat de l’Alliance des Etats du Sahel (AES), une rencontre importante pour la bonne marche de l’Alliance des Etats du Sahel, mise en place le 16 septembre 2023 avec la signature de la Charte du Liptako-Gourma, le selon la présidence du Faso.
La sécurité, la défense, les échanges économiques, culturels et commerciaux, vont constituer les points essentiels des échanges au cours de ce sommet.
Les trois pays partagent des défis communs qui nécessitent une mutualisation des actions et des moyens pour les relever.
Ce sommet constitue un cadre stratégique d’où sortiront des résolutions qui vont tracer les sillons pour le retour de la paix, l’instauration de la sécurité, l’implémentation et le renforcement d’actions communes de développement pour le bonheur des peuples du Sahel.
Boa, Ouagadougou
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Quel paradoxe !! Ce sont les "juntes" qui essayent de travailler dans l'intérêt des peuples africains, pendant que les "démocratiquement élus" organisent des séances de sorcelleries pour participer à la destruction de leurs peuples respectifs...incompréhensibles !!
BRAVO á l'AES...... La Mauritanie a quitté la CEDEAO et elle n'a jamais éte puni par feu- Ange-Gabriel et Dieu. Alors ou est le probleme si le Burkina, Mali et Niger quittent la CEDEAO qui prend ses ordres hors de l'Afrique ????
BRAVO !... La CEDEAO se reveille grace á la détermination de ces " 3 pauvres pays " de l'AES.
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