Côte d'Ivoire : Bouaké va abriter la 1 ère édition de la fête des libertés du Parti de Simone Gbagbo, l'ancienne première dame justifie le choix de cette ville
Simone Gbagbo ce mercredi à Cocody (Ph KOACI)
Le 30 avril 1990, date à laquelle le président Félix Houphouët-Boigny a proclamé le multipartisme fut un tournant de l’histoire qui a marqué à l’époque le Front populaire ivoirien (FPI).
Cette date a été retenue pour le Parti de Gbagbo à l’époque pour célébrer la fête de la liberté. Simone Gbagbo qui a pris ses distances avec le FPI dirigé aujourd’hui par Affi N’guessan et ses anciens camarades du PPA-CI, a porté sur les fonts baptismaux son Parti politique, le Mouvement des Générations Capables (MGC).
Ce mercredi 15 février 2023, comme sur place constaté par KOACI, au siège de sa formation politique, Simone Gbagbo a lancé la célébration de la « fête des libertés », en mémoire à la proclamation du multipartisme en Côte d’Ivoire.
La première édition de cette activité du MGC va se tenir les 29 et 30 avril 2023 à Bouaké, capitale de la région du Gbêkê.
Le Mouvement des générations Capables, s’intégrant dans une vision plus grande a donc décidé d’instituer cette « fête des libertés ». Selon Simone Gbagbo, cette fête permettra à tous les militants de son Parti et l’ensemble des démocrates de Côte d’Ivoire de célébrer les acquis démocratiques et de faire une revue des libertés physiques, idéologiques, économiques, intellectuelles et morale, pour la renaissance de la Côte d’Ivoire.
Cette fête sera ainsi célébrée tous les ans et en un lieu unique sur le territoire ivoirien. « La réconciliation et la renaissance », c’est le thème de la première édition de cette « fête des libertés » qui se tiendra à Bouaké.
Simone Gbagbo a justifié le choix de la ville de Bouaké compte tenu des récents événements politiques marqués par les crises politiques qui ont endeuillé la Côte d’Ivoire.
« Au-delà de notre objectif général qui est la reconquête et l’exercice du pouvoir, le MGC va à Bouaké pour participer à la consolidation du tissu social dans cette ville où le glaive assassin contre la Côte d’Ivoire avait érigé son bastion », a justifié Simone Gbagbo qui a profité pour inviter les partis politiques, les organisations de la société civile et toutes les composantes des couches sociales de la Côte d’Ivoire, à participer à cette activité.
Jean Chrésus, Abidjan
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Faut-il en rire ou pleurer ? Je préfère en rirrrrrreeeeee... C'est quoi ces conneries ? Donc, c'est devenu la guerre des fêtes de la liberté chez ces clowns vauriens pilleurs ex frontistes ou quoi ? Affi, le chien galeux gbagba et maintenant Simone. Des conneries des années d'indépendance que des plantons nègres utilisaient pour enfumer leurs concitoyens et piller. Pendant que les Ivoiriens et Ivoiriennes parlent des vrais enjeux de l'amélioration de nos conditions de vie à travers ponts, routes, hôpitaux, écoles, eau, électricité, etc... et création de richesses, ces minables s'excitent avec ces âneries... Ivoiriens, Ivoiriennes, mes chers compatriotes, êtes-vous donc surpris que ces clowns soient une ultra-minorité aujourd'hui en CIV ? Ils n'ont rien de rien à offrir... Des observateurs avertis ne le sont pas... C'est un fait... Les populations avancent...
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