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Côte d'Ivoire : Le secteur bancaire ivoirien  serait dans le viseur du pôle pénal économique et financier pour  des soupçons de blanchiment de plus de 50 milliards de FCFA
 

Côte d'Ivoire : Le secteur bancaire ivoirien serait dans le viseur du pôle pénal économique et financier pour des soupçons de blanchiment de plus de 50 milliards de FCFA

 
 
 
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 Il y a 2 ans
 
 
 
 
 
© Koaci.com - mercredi 07 septembre 2022 - 12:37

Un média français à, dans sa parution du mercredi 07 septembre 2022, affirmé qu'une enquête pour blanchiment ébranlerait le secteur bancaire ivoirien.


À en croire nos confrères d'Afrique intelligence, le pôle pénal économique et financier ivoirien enquête depuis plusieurs mois sur des soupçons de blanchiment pour près de 52 milliards de francs CFA en relation, selon les informations de KOACI, avec l'affaire de trafic de cocaïne de San Pedro


Alors que nous apprenons également que plusieurs banques sont impliquées, au moins 5 selon nos informatins, le média français explique, lui, que l'enquête en cite une, dont nous tairons le nom, qui serait la plus exposée dans cette affaire dite de blanchiment d’argent.


Reste désormais à savoir si le pôle pénal, économique et financier ivoirien et la structure bancaire fortement indexée dans l’article vont réagir dans les heures qui suivent, pour apporter des clarifications nécessaires relatives à cette information.


 

C’est en conseil des Ministres du 21 juillet 2021, que le chef de l’État, Alassane Ouattara, a pris le projet de loi portant création, compétence, organisation et fonctionnement du pôle pénal, économique et financier.


Le pôle pénal économique et financier, tel que prévu, est une juridiction correctionnelle de premier degré, spécialisée en matière de délinquance économique et financière. Il a pour mission de connaître des infractions économiques et financières d’une grande gravité ou d’une complexité particulière, ainsi que des infractions connexes. Il est doté, à cet effet, d’unités spécialisées de police et de gendarmerie compétentes sur l’ensemble du territoire national.


La création de cette juridiction spécialisée vise à mettre le cadre institutionnel de la répression de la corruption et des infractions assimilées, du blanchiment de capitaux, du financement du terrorisme et des infractions financières connexes en cohérence avec les engagements internationaux de notre pays, notamment ceux issus de la Convention des Nations Unies contre la corruption et des divers autres instruments sous-régionaux et régionaux intervenus récemment pour prévenir et combattre au mieux ces infractions graves et complexes.


Donatien Kautcha, Abidjan 


 
 
  Par Koaci
 
 
 
 
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Joperfal
Le problème n'est pas forcément au niveau des banques. Moi je veux comprendre comment un fonctionnaire parcequ'ils travail dans une régie financière de l'état peut construire à lui seul 4 immeubles de 5 étages, avec des voitures des plusieurs dizaines de millions sans que cela n'attire l'attention de nos gouvernants. Pourquoi fait-on pas d'enquête avant de délivrer un permis de construire par exemple où bien enquêtetons pas sur les revenus comme cela se fait dans plusieurs pays ? L'argent ne se trouve pas dans les banques mais dans les œuvres.
 
 il y a 2 ans     
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aze
Il faut bien contourner le problème pour laisser l'argent sale circuler. Sinon le calcul est simple. Justifier ses avoirs est un calcul elementaire...ah ah ah
 
 il y a 2 ans
 
 
 
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