Djoulaté Fofana, abattu dans une plantation de cacaoyers à Lakota (Ph KOACI)

Dans les fichiers des forces de l’ordre, Djoulaté Fofana et sa bande étaient activement recherchés par la arme'>gendarmerie.

KOACI apprend de sources proches du dossier qu’il était reproché à Djoulaté et sa bande d’être des auteurs présumés de plusieurs braquages sur des passagers.

Aussi, ceux à qui on attribue dans la ville de Lakota plusieurs crimes rituels avaient aussi, comme cela ne suffisait pas, des caches d’armes.

Au bout de plusieurs enquêtes par les hommes de la maréchaussée, la main fut mise sur Djoulaté Fofana, sans nul doute le cerveau de la bande.

Mis aux arrêts et après avoir été questionné, le présumé braqueur reconnaît qu’il avait des caches d’armes dans un champ de cacaoyers.

Djoulaté Fofana prend l’engagement de conduire les arme'>gendarmes dans cette plantation pour leur montrer le magasin où étaient stockées ces armes.

Le malfrat qui avait de toute évidence un plan derrière la tête décide de se mettre en route avec les arme'>gendarmes.

Une fois au niveau de la cache d’armes, Djoulaté Fofana, animé d’un autre esprit va décider de se saisir d’une arme pour ouvrir le feu sur les arme'>gendarmes.

Ainsi, une fois dans la poudrière, il se jette sur une arme et tente d'ouvrir le feu sur les arme'>gendarmes.

L’anticipation de l’un des arme'>gendarmes a permis de mettre fin aux entreprises funestes de ce malfrat. Il sera abattu par l’un des arme'>gendarmes.

La fouille de cet entrepôt a permis de découvrir deux (2) fusils de type calibre 12, deux (2) fusils calibre 12 sciés, 6 cartouches de 12 mm, 17 munitions de 7,62 mm et deux (2) chargeurs de kalachnikov.

Une enquête a été ouverte pour mettre la main sur les complices du défunt Djoulaté Fofana.



Jean Chrésus, Abidjan