Aéroport international Félix Houphouët-Boigny au hall (Ph KOACI)

Tragique mort qui laisse prospérer des allégations de tout genre.

Les circonstances sombres du décès de cette dame âgée de 64 ans à l'aéroport international Félix Houphouët-Boigny laissent prospérer pour plusieurs, la thèse des pratiques mystiques.

Dame Élisabeth épouse Adjoba plus connue sous le nom de Lolo après avoir passé des moments intenses lors des fêtes de fin d'année avec sa famille ne savait pas qu'elle prenait rendez-vous avec la mort hier dimanche 2 janvier 2022 à l'aéroport international Félix Houphouët-Boigny de Port-Bouët.

En effet, KOACI apprend de sources bien introduites que cette soixantenaire est passée de vie à trépas alors qu'elle remplissait une fiche d'embarquement pour la France son Pays de résidence.

Selon les informations en notre possession, Élisabeth Adjoba s'apprêtait à prendre le vol AF 705 à destination de Paris quand elle a été prise soudainement d'un malaise à l'aéroport.

Pourtant, bien portante et ne présentant aucun signe de violence selon les analyses des experts médicaux, dame Lolo au moment où elle devait prendre son vol après avoir rempli sa fiche d'embarquement fut prise d'un malaise.

Une scène qui va pousser certains parents venus l'accompagner à l'aéroport de solliciter l'aide des services de l’antenne médicale d’urgence de l’aéroport Félix Houphouët-Boigny de Port-Bouët.

La dame Élisabeth, française d'origine ivoirienne ne retournera plus en France puisqu'elle est décédée à l'aéroport malgré l'intervention des agents du service médical de l'aéroport.

Partie aux environs de 1 heures du matin à l'aéroport, cette bonne-dame a croisé la mort alors qu'elle ne présentait aucun signe de maladie.

Une mort bien curieuse qui laisse prospérer toute sorte de commentaires à l'aéroport international Félix Houphouët-Boigny de Port-Bouët.

Bien que le corps de dame Lolo ait été enlevé par les services des pompes funèbres pour être conservé à l'hôpital général de Port-Bouët à la demande des parents, plusieurs témoins de cette tragique scène voient en cette situation des pratiques relevant de la sorcellerie.

Jean Chresus, Abidjan