Nigeria : 42 personnes dont 27 élèves relâchées, 317 fillettes toujours aux mains des bandits
Fillettes
Les autorités nigérianes ont annoncé la libération de 42 personnes dont 27 élèves , kidnappées dans une école la semaine dernière par des bandits dans le nord –est , où les rapts se multiplient
Les 42 personnes, dont 27 enfants, enlevées dans une école du centre-ouest du Nigeria, ont été libérées, tandis que que 317 fillettes sont toujours aux mains des groupes criminels.
« Les élèves, les professeurs et leurs proches du Collège des sciences de Kagara ont retrouvé la liberté et sont reçus par le gouvernement local », a annoncé sur twitter Abubakar Sani Bello, le gouverneur de l'Etat nigérian du Niger, l'une des régions minées par les groupes criminels appelés "bandits".
Des individus armés avaient attaqué ce pensionnat tuant un étudiant et emmenant avec eux 27 élèves, trois professeurs et 12 membres de familles du personnel.
Cette libération intervient au lendemain d'un nouveau kidnapping de masse vendredi où 317 fillettes ont également enlevées dans leurs dortoirs .
Depuis près de dix ans, le nord-ouest et le centre du Nigeria sont le théâtre de violences de la part de groupes criminels qualifiés localement de « bandits », qui multiplient les enlèvements contre rançon et les vols de bétail.
Ces bandes criminelles opèrent pour des rançons , mais certaines ont tissé des liens avec les groupes djihadistes présents dans le nord-est.
C’est notamment le cas de celles qui avaient kidnappé, en décembre 2020, 344 élèves dans un pensionnat de la ville de Kankara
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Ce qui me choque en tant qu'observateur Africain, c'est le silence plus que coupables des présidents, intellectuels et pseudo panafricanistes Africains. J'ai du mal à comprendre que ces derniers ne disent rien. On attend que les blancs crient à l'indignation pour que les nègres suivent. Les noirs n'ont aucun respect pour leur propre vie. Ça si c'était des fillettes blanches en grande France nos présidents allaient allaient marcher dans les rues de Paris avec des larmes aux yeux pour condamner cette abomination. J'invite tout Ivoirien de la CIV ou diaspora, s'il en existe, à venir ici sur KOACI nous dire où est l'erreur dans cette analyse succincte.
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