Côte d'Ivoire : « Livreurs urbains », le Régulateur ne se reconnait pas dans la barrière financière (5 millions FCFA) révélée
Bilé Diéméléou, DG de l’ARTCI
Le Collectif des Entrepreneurs de la Livraison Urbaine en Côte d’Ivoire (CELUCI) a révélé que suite à une rencontre le 15 décembre 2020 avec l’Autorité de régulation des télécommunications de Côte d'Ivoire (ARTCI), il a été convenu les points suivants :
Chaque entreprise ou structure doit désormais s'acquitter d'une caution de cinq millions de FCFA sur une période de 10 ans pour exercer. Elles doivent aussi ouvrir un dossier à l’ARTCI d’un montant de 400.000 FCFA.
Une décision qui a provoqué une vague d’indignation auprès de l’opinion. La raison, les personnes qui exercent cette activité sont pour la plupart de la catégorie sociale moyenne de la société.
Attaquée, l’ARTCI tient à clarifier les choses. « Depuis quelques jours, certaines informations circulent sur internet, imputant à l’ARTCI l’intention d’écarter « Les livreurs urbains » à travers des barrières financières alors qu’il en est rien », précise le régulateur. « Nous n'avons pas demandé aux livreurs urbains de payer une somme de 5 millions FCFA. L’ARTCI n'a donné aucune instruction pour les arrêter, on n’a pas pour objectif de casser leur business », ajoute le Directeur General de l’ARTCI, Bilé Diéméléou, comme le rapporte la RTI.
Cependant, il invite à nouveau les « livreurs urbains » à prendre contact avec la Direction des activités postales de l’ARTCI et assure l’ensemble des opérateurs du secteur postal de sa disponibilité à les accompagner dans le développement de leurs activités.
Donatien Kautcha, Abidjan
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Ahiii... Donc, c'est arrivé comment alors ?
Hum on dirait qu'il ont reçu un coup de marteau venant de la haut
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