Côte d'Ivoire : Plus de 244 cas de racket commis par les forces de l'ordre au vu des documents remis au chef du parquet militaire
Le racket à la peau dure au sein de la société ivoirienne et surtout chez les forces de l’ordre. Selon le dernier rapport de l'Unité de Lutte Contre le Racket (ULCR), plus de 244 cas de racket ont été commis par les forces de l'ordre au vu des documents remis au chef du parquet militaire, Ange Kessi à la date du 24 septembre 2020.
Malgré les efforts de l’UCLR depuis sa mise en place, cette infraction continue de faire l'objet de nombreuses plaintes au tribunal militaire. Par conséquent, il reste beaucoup à faire. Un accent particulier est donc mis sur la sensibilisation.
« Je me rends très souvent sur le terrain pour parler à nos hommes afin qu'ils soient professionnels partout où ils sont en mission .Sinon je peux rester assis dans mon bureau et sanctionner en cas de manquement. Le Tribunal militaire a une vocation purement répressive » a dit le commissaire du Gouvernement lors d’une dernière rencontre avec la presse.
Pour le Contre-amiral Ange Kessi, ça serait très prétentieux de sa part d'éradiquer ce fléau. Toutes ces actions selon lui ont pour objectif de le réduire à un niveau acceptable. C'est dans cette optique que le Tribunal militaire apportera sans effort son soutien à l'ULCR qui connait certaines difficultés d'ordre logistique et humain.
Le racket est un phénomène qui gangrène l’économie et impacte négativement sur le développement du pays, faut-il le souligner.
L’Unité de Lutte Contre le Racket (ULCR) créé par arrêté interministériel numéro 086 / MI / MEF / MDPMMD du 22 Juillet 2011 a entre autres pour mission de démanteler les barrages anarchiques, de lutter contre les perceptions illicites, de veiller à la fluidité des couloirs économiques sécurisés, de constater, relever et faire sanctionner les entraves à la fluidité routière.
Le point sur la situation du racket en côte d'Ivoire se fait tous les 3 mois autour du commissaire du gouvernement, L'ULCR, la Haute Autorité de la Bonne Gouvernance et quelques structures impliquées dans la lutte contre ce fléau.
Donatien Kautcha, Abidjan
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L'émergence des mentalités si chère au mandela de pacotille n'était pour 2020. Sûrement pour 2025, 2030,...2050. Ah ! J'oubliais que dans l'entendement des moutons et tocards du rdr, l'émergence, c'est uniquement les ponts et le bitume biodégradable. Lolll
C'est ce que je disais tantôt @GNRICAO, pour vous l'émergence, c'est uniquement le bitume, au point même de faire un coup d'état à Bédié en 1999 pour n'avoir pas fait un km de goudron. Ok. Ce km de bitume même biodégradable, tu l'as eu. Et ta mentalité, a telle évolué ? Pas si sûr vu ton raisonnement.
Apparemment pour toi le pays existe depuis 2011. Ok "bitume biodégradable", mais si le SOULARDS qui parle de biodégradable, avait fait au moins 1 Km de biodégradable on aurait pas eu un pays en catastrophe lors de son mandat de 6 ans. C'est sur "bitume biodégradable" il roule pour aller à Daoukro, lui qui durant son mandat n'a meme pas été capable de bitumé cette route; lui le plus NUL des hommes politique du pays. meme GUEI le militaire a été plus honorable que lui.
FERMETÉ... FERMETÉ... FERMETÉ... A bas le racket... Continuons nos efforts afin d'éradiquer ce fléau...
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