Côte d'Ivoire: Pour le bien-être des élèves, une structure propose ses services aux COGES
La rencontre de SAVE au Jacques Aka de Bouaké (ph KOACI)
Mis en place dans la capitale de la paix avec comme objectif apporter un appui en temps réel aux accidentés de différentes couches sociales ainsi qu’aux élèves, enfants ou adultes pour soutenir le dispositif sécuritaire existant dans l'optique de réussir deux challenges majeurs à savoir la réduction du taux de disparition des personnes (enfants ou adultes), et l’assistance systématique en temps réel aux personnes accidentées en lien avec les activités de formation et de sensibilisation en milieu scolaire, le service SAVE, une plateforme technologique à caractère social permettant de contacter des proches en cas d’urgence, a vu le jour à Bouaké.
Estimant que ce service serait une aubaine en terme de sauvegarde des vies des élèves, Dr Kouadio Kouamé David, directeur de l’animation de la promotion et de suivi des comités de gestion des établissements scolaires au ministère de l’éducation nationale, s’en est réjoui.
« Cette plateforme a pour objectif de gérer les urgences en milieu scolaire et pour toutes personnes ayant eu un accident juste du fait que les secours tardent, où soit on a pas eu un contact pour contacter un proche et cela permet de rentrer en contact avec les proches pour les premiers secours. Je demande aux acteurs du système scolaire de s’approprier ce produit pour permettre de réduire le taux de disparition des enfants », a exhorté Bamba Issa Désiré, directeur général adjoint représentant le responsable de SAVE.
Avec un coût d'adhésion fixé à 2000 fcfa par an expliqué aux participants, les responsables ont profité de cette occasion pour présenter le service SAVE, et installer les partenaires qui seront en lien avec les relais proposés par les Conseillers COGES et DVS (Direction de la Vie Associative), afin de sensibiliser les acteurs par les conseillers COGES et D.V.S en enrôlant les élèves, les parents, les enseignants et prendre également en compte, les cibles de la société civile à l'occasion de cette phase pilote.
T.K.Emile, correspondant permanent de KOACI à Bouaké
Infos à la une
2000 f CFA par an, c'est se foutre de la gueule des gens...l'organisme de tutelle est incapable d'avoir ses propres applications ? C'est méchant oui vous profitez du malheur des gens.
Communiqués
Côte d'Ivoire
Côte d'Ivoire
Côte d'Ivoire