une dépôt d’ordures visible dans la ville de Man (Ph KOACI)

Quel préjudice pour ces hauts cadres de cette ville qui dans le temps était vue comme un petit Paris, belle qu’elle était.

La capitale de la région du Tonpki, Man sombre aujourd’hui dans la ruine. A côté de la majorité des voies de la ville qui sont quasiment impraticables, à Man les ordures règnent en maître, comme constaté sur place par KOACI.

Man, n’est pas exemple d’une ville où l’hygiène et la propreté sont mises en priorité.

Ce qui attire l'attention des visiteurs dans la ville de Man, ce sont ces tas d’immondices qui règnent dans la capitale du Tonpki.

Ce tableau moins reluisant de la ville de Man est vu et su par toutes les autorités municipales et administratives de la ville.

Sentiment d’impuissance ou du laisser aller ? Quoiqu’il en soit, à côté de ces rues dégradées, bitumes presqu’inexistantes laissant la place à la poussière, à Man ce qui frappe le premier venu dans cette ville c’est la saleté qui y règne.

Dans cette ville qui jadis attirait des touristes comme tenu de sa beauté, on se sali lorsqu’on se promène dans la rue vu la poussière qui y règne également.

Man n’est plus la ville du temps jadis, sur ce point, les habitants de la ville sont tous unanime et regrettent ces bon vieux temps.



Ces habitants dont l’indiscipline et l’incivisme ont joué dans la balance pour que la ville soit dans cet état aujourd’hui sont responsables de tous ces dépôts sauvages de ces ordures dans les lieux inadéquats.

A Man, c’est la ville où les stationnements anarchiques sont quasiment dans l’habitude des populations, les animaux qui errent en pleine rue, uriner où déféquer à l’aire libre ne gêne personne.

Kokô, Dioulabougou, Libreville et Blocausse sont les quartiers de la ville de Man qui s’illustre de la plus mauvaise manière en termes d’insalubrité. Dans ces quartiers, la culture de la propreté et l’hygiène sont relégués au second plan.

Jean Chrésus