Sept principaux défis ont été identifiés par les participants à  l’issue de trois jours de réflexion, pour un enseignement supérieur de qualité.

Comme palliatif à  la massification des effectifs, il est mentionné dans le rapport lu par le Professeur Crézoit Emmanuel que les participants proposent l’enseignement à  distance pour l’équité de l’accès de tous les bacheliers dont les jeunes filles à  une formation supérieure de qualité.

Pour la qualité et la pertinence, les participants encouragent la signature de contrats de performance et l’institution d’une autorité d’assurance qualité. Ils exigent que les responsables soient désignés par appel à  candidature.

Les participants ont insisté sur le renforcement de la Task force, l’autonomisation et la flexibilité de l’exécution des budgets pour la gouvernance.

En ce qui concerne le climat social, les participants souhaitent la poursuite du dialogue social pour un climat apaisé sur les campus, la redynamisation des pôles de compétences.

La qualité des propositions a été saluée par le Président du comité scientifique des travaux, l’ancien ministre de l’Enseignement supérieur, Pr Saliou Touré qui estime qu’elles doivent servir de base à  « une politique nouvelle pour une formation de qualité en vue d’une meilleure employabilité des diplômés.»

Pour rappel, cette Concertation nationale s’articulait autour du thème « Quel système d’enseignement supérieur et de recherche scientifique pour une Côte d’Ivoire émergente ? »

Wassimagnon