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Côte d'Ivoire : J-2 du procès à la Haye, l'ancien ministre PDCI Pierre Kipré «Tout arrive à la CPI, même l'indicible»
© Koaci.com - mercredi 30 janvier 2019 - 11:54Kipré
© Koaci.com – Mercredi 30 Janvier 2019 – A deux jours de l’audience de Laurent Gbagbo et Charles Blé Goudé à la Cour Pénale Internationale (CPI), l’ancien ministre de l’éducation nationale, Pierre Kipré, sort de sa réserve.
Dans une tribune dont KOACI a pu se procurer une copie, l’ex Ambassadeur de la Côte d’Ivoire, affirme que la morale et la justice ne font pas bon ménage avec les calculs et manipulations politiciennes.
« Malgré l’indépendance dont font preuve des magistrats de la CPI, force est de constater que les craintes que des médias internationaux avaient fait naître en montrant le dessous des cartes de ce procès politique se confirment”‰: la CPI semble prendre les couleurs du système judiciaire des tropiques, une justice aux ordres des puissants et non une justice soumise au seul droit », dénonce l’éminent intellectuel ivoirien.
Pour M. Kipré, tout arrive à la CPI, même l’indicible et d’interroger. « Et la Chambre d’appel entérine le recours du Procureur. Au nom de quelle justice ? Au nom de quelle communauté internationale ? Au nom de quelles victimes doit-on condamner des prévenus reconnus publiquement innocents ? »
Selon le cadre du PDCI, cette décision est un véritable déni de justice, une violation inacceptable des droits du justiciable. « Une telle décision signifie aussi que la CPI fait des deux personnalités des hommes sans droits et dont on restreint la liberté alors qu’ils ne sont plus poursuivis », poursuit-il.
Pierre Kipré exige la libération immédiate des deux acquittés, l’application des dispositions du Statut de Rome en la matière (art.81) et le respect absolu de la liberté de Laurent Gbagbo et Charles Blé Goudé.
« La CPI n’a pas le droit de se placer au-dessus de la liberté et de la justice si elle veut être l’instrument universel de lutte contre l’injustice », a conclu le proche de Laurent Gbagbo.
Donatien Kautcha, Abidjan
Ci-dessous l’intégralité de la tribune de Pierre Kipré sur la détention de Laurent Gbagbo et Blé Goudé à la CPI....
Lors de son audience du 15 janvier 2019, la Chambre de 1ere instance de la Cour pénale internationale (CPI) a acquitté le président Laurent Gbagbo et le ministre Charles Blé Goudé. Elle a ordonné leur libération immédiate. Malgré ses 82 témoins et ses milliers de documents, le procureur n’a rien démontré, selon les juges.
Cette décision est confirmée le lendemain par la Chambre d’appel. Mais le procureur se pourvoit en cassation contre la libération des deux prisonniers et, contre toute attente, la chambre d’appel suspend cette libération dans la soirée du mercredi 16 janvier.
Ce procès, par lequel le procureur Fatou Bensouda disait en janvier 2016 «”‰envoyer un message fort et ferme à tous ceux qui complotent pour se hisser au pouvoir ou s’y maintenir en ayant recours à la force et à la brutalit锉», n’en est pas à ses premières incongruités juridiques.
Il démontre que la morale et la justice ne font pas bon ménage avec les calculs et manipulations politiciennes. Malgré l’indépendance dont font preuve des magistrats de la CPI, force est de constater que les craintes que des médias internationaux avaient fait naître en montrant le dessous des cartes de ce procès politique se confirment”‰: la CPI semble prendre les couleurs du système judiciaire des tropiques, une justice aux ordres des puissants et non une justice soumise au seul droit.
Depuis la crise électorale de 2010 et l’arrestation du président Laurent Gbagbo en avril 2011, la Côte d’Ivoire reste profondément divisée et traumatisée. Aux massacres et à l’exil massif d’Ivoiriens s’ajoute une justice toujours dévoyée.
Le transfèrement à la CPI de Laurent Gbagbo, en novembre 2011, et de Charles Blé Goudé, en mars 2014, avait laissé supposer que le droit serait dit par la justice internationale. Avec son procureur, la CPI nous fait vivre les péripéties d’un droit singulier.
Malgré les rappels du juge-président de la Chambre de première instance, les prévenus n’ont jamais bénéficié de la présomption d’innocence ; leur détention aura duré plus de sept ans pour Laurent Gbagbo, cinq ans pour Charles Blé Goudé. Après une instruction à sens unique et au terme d’un procès de trois ans, la Chambre de 1ere instance s’est rendue compte de la vacuité du dossier du Procureur, le 15 janvier dernier, pour dire le droit.
Déjà habitué à violer les droits des deux prévenus, le bureau du Procureur les veut désormais «”‰acquittés mais prisonniers”‰». Une première dans les annales de la justice. Kafka n’aurait jamais imaginé telle situation.
Pourtant, tout arrive à la CPI, même l’indicible. Et la Chambre d’appel entérine le recours du Procureur. Au nom de quelle justice ? Au nom de quelle communauté internationale ? Au nom de quelles victimes doit-on condamner des prévenus reconnus publiquement innocents ?
Cette décision est un véritable déni de justice, une violation inacceptable des droits du justiciable depuis le jugement rendu le 15 janvier 2019 par la chambre de 1ère instance. Une telle décision signifie aussi que la CPI fait des deux personnalités des hommes sans droits et dont on restreint la liberté alors qu’ils ne sont plus poursuivis.
On voudrait pour eux, au mieux, une liberté sous conditions. Au profit de qui ? Quel crime présenté par le Procureur dans son réquisitoire serait ainsi puni par cette restriction de liberté ? Sauf ce que nous voyons tous sous les cocotiers de la lagune, la liberté provisoire n’a jamais été prononcée après un acquittement en bonne et due forme.
Citoyens d’Afrique et du monde, nous sommes tous comptables des atteintes à l’indépendance de la justice. Nous sommes tous attachés à la bonne administration d’une justice équitable et au respect des droits inaliénables de la personne humaine.
En conséquence, comme des millions de justiciables, j’exige la libération immédiate des deux acquittés, l’application des dispositions du Statut de Rome en la matière (art.81) et le respect absolu de la liberté de Laurent Gbagbo et Charles Blé Goudé. La CPI n’a pas le droit de se placer au-dessus de la liberté et de la justice si elle veut être l’instrument universel de lutte contre l’injustice.
Par Pierre Kipré
Ancien ministre de l'Éducation, il fut l'ambassadeur de la Côte d'Ivoire à Paris de 2007 à 2010.
© Koaci.com – Mercredi 30 Janvier 2019 – A deux jours de l’audience de Laurent Gbagbo et Charles Blé Goudé à la Cour Pénale Internationale (CPI), l’ancien ministre de l’éducation nationale, Pierre Kipré, sort de sa réserve.
Dans une tribune dont KOACI a pu se procurer une copie, l’ex Ambassadeur de la Côte d’Ivoire, affirme que la morale et la justice ne font pas bon ménage avec les calculs et manipulations politiciennes.
« Malgré l’indépendance dont font preuve des magistrats de la CPI, force est de constater que les craintes que des médias internationaux avaient fait naître en montrant le dessous des cartes de ce procès politique se confirment”‰: la CPI semble prendre les couleurs du système judiciaire des tropiques, une justice aux ordres des puissants et non une justice soumise au seul droit », dénonce l’éminent intellectuel ivoirien.
Pour M. Kipré, tout arrive à la CPI, même l’indicible et d’interroger. « Et la Chambre d’appel entérine le recours du Procureur. Au nom de quelle justice ? Au nom de quelle communauté internationale ? Au nom de quelles victimes doit-on condamner des prévenus reconnus publiquement innocents ? »
Selon le cadre du PDCI, cette décision est un véritable déni de justice, une violation inacceptable des droits du justiciable. « Une telle décision signifie aussi que la CPI fait des deux personnalités des hommes sans droits et dont on restreint la liberté alors qu’ils ne sont plus poursuivis », poursuit-il.
Pierre Kipré exige la libération immédiate des deux acquittés, l’application des dispositions du Statut de Rome en la matière (art.81) et le respect absolu de la liberté de Laurent Gbagbo et Charles Blé Goudé.
« La CPI n’a pas le droit de se placer au-dessus de la liberté et de la justice si elle veut être l’instrument universel de lutte contre l’injustice », a conclu le proche de Laurent Gbagbo.
Donatien Kautcha, Abidjan
Ci-dessous l’intégralité de la tribune de Pierre Kipré sur la détention de Laurent Gbagbo et Blé Goudé à la CPI....
Lors de son audience du 15 janvier 2019, la Chambre de 1ere instance de la Cour pénale internationale (CPI) a acquitté le président Laurent Gbagbo et le ministre Charles Blé Goudé. Elle a ordonné leur libération immédiate. Malgré ses 82 témoins et ses milliers de documents, le procureur n’a rien démontré, selon les juges.
Cette décision est confirmée le lendemain par la Chambre d’appel. Mais le procureur se pourvoit en cassation contre la libération des deux prisonniers et, contre toute attente, la chambre d’appel suspend cette libération dans la soirée du mercredi 16 janvier.
Ce procès, par lequel le procureur Fatou Bensouda disait en janvier 2016 «”‰envoyer un message fort et ferme à tous ceux qui complotent pour se hisser au pouvoir ou s’y maintenir en ayant recours à la force et à la brutalit锉», n’en est pas à ses premières incongruités juridiques.
Il démontre que la morale et la justice ne font pas bon ménage avec les calculs et manipulations politiciennes. Malgré l’indépendance dont font preuve des magistrats de la CPI, force est de constater que les craintes que des médias internationaux avaient fait naître en montrant le dessous des cartes de ce procès politique se confirment”‰: la CPI semble prendre les couleurs du système judiciaire des tropiques, une justice aux ordres des puissants et non une justice soumise au seul droit.
Depuis la crise électorale de 2010 et l’arrestation du président Laurent Gbagbo en avril 2011, la Côte d’Ivoire reste profondément divisée et traumatisée. Aux massacres et à l’exil massif d’Ivoiriens s’ajoute une justice toujours dévoyée.
Le transfèrement à la CPI de Laurent Gbagbo, en novembre 2011, et de Charles Blé Goudé, en mars 2014, avait laissé supposer que le droit serait dit par la justice internationale. Avec son procureur, la CPI nous fait vivre les péripéties d’un droit singulier.
Malgré les rappels du juge-président de la Chambre de première instance, les prévenus n’ont jamais bénéficié de la présomption d’innocence ; leur détention aura duré plus de sept ans pour Laurent Gbagbo, cinq ans pour Charles Blé Goudé. Après une instruction à sens unique et au terme d’un procès de trois ans, la Chambre de 1ere instance s’est rendue compte de la vacuité du dossier du Procureur, le 15 janvier dernier, pour dire le droit.
Déjà habitué à violer les droits des deux prévenus, le bureau du Procureur les veut désormais «”‰acquittés mais prisonniers”‰». Une première dans les annales de la justice. Kafka n’aurait jamais imaginé telle situation.
Pourtant, tout arrive à la CPI, même l’indicible. Et la Chambre d’appel entérine le recours du Procureur. Au nom de quelle justice ? Au nom de quelle communauté internationale ? Au nom de quelles victimes doit-on condamner des prévenus reconnus publiquement innocents ?
Cette décision est un véritable déni de justice, une violation inacceptable des droits du justiciable depuis le jugement rendu le 15 janvier 2019 par la chambre de 1ère instance. Une telle décision signifie aussi que la CPI fait des deux personnalités des hommes sans droits et dont on restreint la liberté alors qu’ils ne sont plus poursuivis.
On voudrait pour eux, au mieux, une liberté sous conditions. Au profit de qui ? Quel crime présenté par le Procureur dans son réquisitoire serait ainsi puni par cette restriction de liberté ? Sauf ce que nous voyons tous sous les cocotiers de la lagune, la liberté provisoire n’a jamais été prononcée après un acquittement en bonne et due forme.
Citoyens d’Afrique et du monde, nous sommes tous comptables des atteintes à l’indépendance de la justice. Nous sommes tous attachés à la bonne administration d’une justice équitable et au respect des droits inaliénables de la personne humaine.
En conséquence, comme des millions de justiciables, j’exige la libération immédiate des deux acquittés, l’application des dispositions du Statut de Rome en la matière (art.81) et le respect absolu de la liberté de Laurent Gbagbo et Charles Blé Goudé. La CPI n’a pas le droit de se placer au-dessus de la liberté et de la justice si elle veut être l’instrument universel de lutte contre l’injustice.
Par Pierre Kipré
Ancien ministre de l'Éducation, il fut l'ambassadeur de la Côte d'Ivoire à Paris de 2007 à 2010.
Par Koaci
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8 Commentaire(s)
Côte d'Ivoire : J-2 du procès à la Haye, l'ancien ministre PDCI Pierre Kipré «Tout arrive à la CPI, même l'indicible»
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OULAI DE BEOUE zea
Sérénité a bord, le triomphe a commencé les voix s'élèvent de plus en plus. GBAGBO rentrera a mama,malheur a celui qui va intercepté son convoi,on attend impatiemment cette injuste incarcéré a nouveau un innocent, ce sera la fin du monde pour la côte d'Ivoire.
Sérénité a bord, le triomphe a commencé les voix s'élèvent de plus en plus. GBAGBO rentrera a mama,malheur a celui qui va intercepté son convoi,on attend impatiemment cette injuste incarcéré a nouveau un innocent, ce sera la fin du monde pour la côte d'Ivoire.
il y a 5 ans
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tiesso
Toi kipre avec un pied plus long que l'autre 0 m 30 centimettre. Voleur de véhicules de l'ambassade et destructeur de résidence avec caca humain où étais-tu passé et c'est toi qui parle de droit, de justice. Mr le chef du laboratoire de l'ivoirite Satan en personne. Dit nous où tu te trouves et on viendra te chercher. Oulai toi tu est un petit con vivant sur une autre planète
Toi kipre avec un pied plus long que l'autre 0 m 30 centimettre. Voleur de véhicules de l'ambassade et destructeur de résidence avec caca humain où étais-tu passé et c'est toi qui parle de droit, de justice. Mr le chef du laboratoire de l'ivoirite Satan en personne. Dit nous où tu te trouves et on viendra te chercher. Oulai toi tu est un petit con vivant sur une autre planète
il y a 5 ans
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Carlo
@tiesso, il est encore mieux que Kandia camara, nous avons fait l'école primaire sous ce monsieur avec de bons résultat scolaire contrairement à celle qui commande des P.H pour s'essuyer le derrière avec l'argent du contribuable ivoirien qui a gà¢ché cette belle ecole ivoirienne.
@tiesso, il est encore mieux que Kandia camara, nous avons fait l'école primaire sous ce monsieur avec de bons résultat scolaire contrairement à celle qui commande des P.H pour s'essuyer le derrière avec l'argent du contribuable ivoirien qui a gà¢ché cette belle ecole ivoirienne.
il y a 5 ans
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Mauvais LeMauvais
Non événement! Par dépit, le PDCI de Daoukro usant de tous les moyens veut s'accopiner avec ceux qui ont traité le fondateur du vrai PDCI de voleur. Allez-y, le vieux va se retourner dans sa tombe. Attendez pour voir!
Non événement! Par dépit, le PDCI de Daoukro usant de tous les moyens veut s'accopiner avec ceux qui ont traité le fondateur du vrai PDCI de voleur. Allez-y, le vieux va se retourner dans sa tombe. Attendez pour voir!
il y a 5 ans
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Deku
C'est pour ça que Gbagbo doit rester là -bas pour bien honir les occidentaux. On en voit déjà les fruit et là c'est toute l'Afrique qui en parle.
C'est pour ça que Gbagbo doit rester là -bas pour bien honir les occidentaux. On en voit déjà les fruit et là c'est toute l'Afrique qui en parle.
il y a 5 ans
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ILLUSIONS PERDUES
#tieso avec les rélations de el hadj mossi, l'hom qui cause avec satan le diable. devrait savoir ou prdre kipré... oubien ta plus confiance en ton dao??
#tieso avec les rélations de el hadj mossi, l'hom qui cause avec satan le diable. devrait savoir ou prdre kipré... oubien ta plus confiance en ton dao??
il y a 5 ans
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15565
Pauvre rienleu de Kipré (un autre bété et assimilé 👺👺👺)… Sinon dans quelle cour toi Kipré ne sait pas qu’il y’a toujours possibilité de d’interjeter appel ? Hein ? Quel minable ! Moi, je n’ai jamais fait mystère de la nullité de la procureure qui a foiré un tel « slam dunk » comme cas pour le tueur gbagba. Mais, l’appel existe partout. Alors ? Ce n’est pas parce que cela ne vous arrange pas que vous aller aboyer. Et puis, même Me Altit peut faire appel aussi si d’aventure il ne soutient pas une décision de la cour. Alors ?
Pauvre rienleu de Kipré (un autre bété et assimilé 👺👺👺)… Sinon dans quelle cour toi Kipré ne sait pas qu’il y’a toujours possibilité de d’interjeter appel ? Hein ? Quel minable ! Moi, je n’ai jamais fait mystère de la nullité de la procureure qui a foiré un tel « slam dunk » comme cas pour le tueur gbagba. Mais, l’appel existe partout. Alors ? Ce n’est pas parce que cela ne vous arrange pas que vous aller aboyer. Et puis, même Me Altit peut faire appel aussi si d’aventure il ne soutient pas une décision de la cour. Alors ?
il y a 5 ans
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Igwe Ikemefuna
C'est de kipré que abruti,qui vit de déchet parle.Il n'ya pas un homme de la trempe de Kipré dans ce gouvernement du nord en application de la charte du nord par le rattrapage dont la seule compétence est le djoula.Des gens qui ne savent pas calculer un simple taux de croissance et toujours récadrés par la Banque Mondiale.Tous des nuls.Thierry Tanoh était le seul bon ministre.Il a préferé rendre sa demission que de se faire corrompre,modèle de gouvernance du régime nordiste.
C'est de kipré que abruti,qui vit de déchet parle.Il n'ya pas un homme de la trempe de Kipré dans ce gouvernement du nord en application de la charte du nord par le rattrapage dont la seule compétence est le djoula.Des gens qui ne savent pas calculer un simple taux de croissance et toujours récadrés par la Banque Mondiale.Tous des nuls.Thierry Tanoh était le seul bon ministre.Il a préferé rendre sa demission que de se faire corrompre,modèle de gouvernance du régime nordiste.
il y a 5 ans
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