

Côte d'Ivoire : « Littérature et Droit : Interactions et confrontation », au centre d'un colloque International à l'UAO de Bouaké
Au cours du colloque (.ph KOACI.)
Le Laboratoire d'Etudes et de Recherches en Littératures Française et Francophone (LABERLIF) a organisé les mercredi 12 et jeudi 13 mars 2025, au campus 2 de l'Université Alassane Ouattara (UAO) de Bouaké, un colloque International sur le thème « Littérature et Droit : Interactions et confrontation ». Ce colloque vise à favoriser l’échange entre des professionnels des métiers de sorte à éclairer l’opinion nationale et internationale sur le privilège commun que la littérature et le droit ont en partage.
Il a aussi pour objectif principal de faire connaître et de faire découvrir la littérature dans toutes ses facettes et dans toute sa richesse. « Déjà en 2023, nous avons organisé un premier colloque intitulé Littérature et Développement Économique et Social. C'est dans cette même continuité de notre affaire, que nous avons dit qu'il faut que la littérature se fasse connaître au niveau du droit, raison du choix du thème de ce colloque...» a fait savoir Prof Mindié Manhan Pascal, Professeur Titulaire de Littérature Française, Directeur du LABERLIF et Président du Comité d’Organisation
Au cours de ces deux jours de communication, les participants, notamment les chercheurs, ont été invités à apporter des réponses effectives sur l’originalité d’un tel paradigme autour de huit axes de recherche. Il s'agit notamment de l'Axe 1 : Roman policier et faits de Droit ; Axe 2 : Droit et Rhétorique ; Axe 3 : Sciences du langage juridique ; Axe 4 : Place de la littérature dans l’enseignement du Droit ; Axe 5 : Sources littéraires du Droit ; Axe 6 : Loi, Justice, Faute, Jugement dans la fiction ; Axe 7 : Littérature et droit traditionnel/coutumier et Axe 8 : Littérature et Droits de l’homme.
Il faut noter qu'une conférence inaugurale a été prononcée par le Doyen de l'UFR des Sciences Juridiques, Administratives et Politiques de l'UAO, Silué Nanga. « Pour moi, il n'y a pas confrontation, il y a plutôt consubstantialité et complétude. J'ai traduit ça par deux idées fortes : l'osmose congénitale et une complétude interactive c'est-à-dire un échange réciproque...» a-t-il expliqué.
T..K.Emile
tkemile@koaci.com


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