Côte d'Ivoire
COOPAIBVAN, L’ORGANE SUPREME DU GOTHO BIDJAN POUR DEFENDRESES
INTERETS (L’INTEGRALITE & LA PRESERVATION DE SES TERRITOIRES) A ABIDJAN SA TERRE
ANCESTRALE
Ivoiriens, africains,
Dans un article récent, Koaci nous informe d’une revendication des villages Petit Bassam, Audoin-
Beugreto et Abia-Beugreto.Dans une honteuse synergie, ces villages se font propriétaires ancestraux
de l’Ile Boulay.Pire, ils vont jusqu’à défier quiconque mettrait en cause leur posture. Nous,
descendants des Bidjan et détenteurs exclusifs de l’archive de cette communauté autochtone, leur
demandons de se calmer et d’éviter d’être les activistes de la pègre en quête de blanchissement de
capitaux illicites. Les soutiens dont ils se prévalent et qui leur font oublier qu’ils ont été accueillis sur
les terres qu’ils s’acharnent à récupérer doit prendre fin. La Cote d’Ivoire, en son entièreté n’a jamais
été une terre sans maitre. Chaque autochtone sait de quel espace il est autochtone. Les Bidjan qui ont
accueilli vos ascendants, ont pris soin de laisser des traces que vous n’aurez aucun mal à trouver dans
les archives francaises.Audelà de celles-ci ,nous détenons dans différents pays tous les actes,
topographies et autres éléments authentiques à même de neutraliser toute velléité d’expropriation
devant une juridiction serieure.Notre silence actuel n’est pas un abandon de ce qui est à nous, mais la
patience du vrai propriétaire qui observe l’hystérie et l’ingratitude des nouveaux-venus portés par le
gain illicite. Les Bidjan, ce sont sept (07) villages au rang desquels ne figurent nulle part les agités
actuels. Pourquoi veulent-ils forcement être propriétaires de l’Ile Boulay.Qu’ils se ressaisissent pour
éviter les humiliations à l’avenant. Qu’ils se contentent de jouir de l’espace qui leur a été initialement
attribué par les nôtres. Il n’est jamais indiqué de vouloir s’accaparer des terres qui ne sont pas à soi.
Les ancêtres sont là qui veillent et qui nécessairement agiront. A tous ces prétendus propriétaires,
nous demandons de se dissocier de la pègre qui à tour de bras spolie les Ivoiriens. Le temps des
restitutions va nécessairement arriver. Les Bidjan n’ont vendu aucune parcelle de leur patrimoine.
Aussi, demandent-ils aux falsificateurs de tout genre de méditer sur ce qui les attend. La postérité
remettra nécessairement les choses dans le bon ordre. En dispositifs judiciaires
ou traditionnels, nous sommes prêts à mettre en évidence les éléments justificatifs
requis. Abidjan est Bidjan
LE PRESIDENT
AHOURE KOUTOUAN
Communiqués
Côte d'Ivoire
Côte d'Ivoire
Côte d'Ivoire