Côte d'Ivoire : Guillaume Soro bientôt à Abidjan ? Retour de la première vague d'exilés pro- Soro, un pas crucial vers la réconciliation
Le chef de cabinet de Soro
L'échange téléphonique entre le chef de l'État Alassane Ouattara et Guillaume Soro semble porter ses fruits.
Dans un geste remarquable vers la réconciliation et la consolidation de la paix en Côte d'Ivoire, l'ancien Premier ministre Guillaume Kigbafori Soro a annoncé le retour progressif des cadres de Générations et Peuples Solidaires (GPS) en exil.
Cette décision intervient à la suite des récents efforts de décrispation politique, y compris la mesure de grâce accordée à ses proches et les échanges cordiaux avec le Président Alassane Ouattara.
Sous la direction de M. Ouattara Toh Marc, Chef de Cabinet de Guillaume Soro, une première vague d'exilés est arrivée à Abidjan le samedi 06 avril 2024. Ce retour symbolique marque une étape significative dans la volonté du chef de l'État de contribuer activement à la construction d'une Côte d'Ivoire unie et pacifique.
Cette initiative témoigne de l'engagement résolu en faveur de la paix et de la réconciliation nationale. En préparant le terrain pour une élection présidentielle en 2025, Guillaume Soro aspire à ce qu'elle soit ouverte, inclusive, transparente, loyale et exemplaire.
Le retour des membres de GPS en exil offre une opportunité sans précédent de renforcer le tissu social et politique du pays.
L'annonce de ce retour progressif suscite un sentiment d'espoir et d'optimisme parmi les citoyens ivoiriens, qui aspirent à une société plus juste et inclusive. Cependant, elle souligne également les défis à venir, notamment la nécessité de garantir la sécurité et le bien-être des personnes rentrant d'exil, ainsi que de créer un environnement propice à la participation politique équitable.
Enfin, le retour de la première vague d'exilés de GPS représente un pas crucial vers la réconciliation et la stabilité en Côte d'Ivoire. C'est un appel à l'unité nationale et à la construction d'un avenir commun fondé sur les valeurs de démocratie, de respect des droits de l'homme et de justice sociale. En embrassant cette opportunité, la nation ivoirienne peut tourner la page sur une période tumultueuse de son histoire et avancer vers un avenir de prospérité et d'harmonie.
Jean Chresus, Abidjan
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