Côte d'Ivoire : Yopougon, en pleine circulation un chauffeur de taxi pique une crise d'épilepsie et cause un accident
vue de l'accident (Ph KOACI)
La commune de Yopougon a été au centre d'une scène inhabituelle dans la journée d'hier. Un taxi a été le catalyseur d'une série d'événements tragiques, plongeant le quartier dans l'effroi et la confusion. Le récit de cette journée sombre débute alors que le crépuscule enveloppe la pharmacie Akadjoba, et que les rues regorgent de vie, entre bistrots animés et maquis accueillants.
Soudain, un fracas assourdissant déchire le brouhaha ambiant, semant la panique parmi les passants. Près du rond-point du palais de justice de Yopougon, plusieurs véhicules, dont un taxi, se trouvent impliqués dans une collision d'une ampleur inouïe. Mais qu'a-t-il bien pu se passer pour en arriver là ?
Selon les témoins présents sur les lieux, le chauffeur du taxi aurait été subitement pris d'une crise d'épilepsie au moment même où il franchissait le feu tricolore à proximité de la pharmacie Akadjoba. Un scénario aussi terrifiant qu'imprévisible qui a précipité le véhicule dans une série de collisions, avec pour conséquence des victimes et des dégâts matériels considérables.
L'impact initial a été particulièrement violent, le taxi heurtant de plein fouet un "gbaka" avant de poursuivre sa course effrénée jusqu'à percuter un véhicule tout-terrain, à quelques pas seulement du rond-point du palais de justice. Par un miracle, le conducteur du taxi a retrouvé ses esprits, bien que blessé, grâce à l'intervention salvatrice des airbags.
Cependant, les séquelles matérielles de cette tragédie sont indéniables, laissant dans son sillage un spectacle de désolation. Les autorités, alertées, ont rapidement dépêché des équipes de police et de secours sur les lieux, offrant assistance aux victimes et orchestrant leur prise en charge par les sapeurs-pompiers.
Au lendemain de cet événement traumatique, une enquête minutieuse a été lancée pour comprendre les circonstances exactes de l'accident et déterminer les responsabilités.
Jean Chresus, Abidjan
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