Côte d'Ivoire : Le syndicaliste Koné Krémitcha licencié de l'ARTCI pour « fautes lourdes »
Samedi, nous révélions qu'il était allé trop loin, ce jour, il en paye les pots cassés. Comme pressenti, le syndicaliste Koné Krémitcha a été licencié lundi 4 décembre 2023 de l'Autorité de Régulation des Télécommunications/TIC de Côte d'Ivoire (ARTCI) pour « fautes lourdes », au moins trois, apprend KOACI de sources concordantes.
Pour confirmation, nous avons pu nous procurer une copie de l'exploit d'huissier remis hier, mardi 5 décembre 2023, au concerné.
Nous y apprenons également qu'il a reçu un peu plus de 42 millions de Fcfa d'indemnités (droits à la retraite..., ndlr).
Extrait de l'exploit d'huissier
Les fautes lourdes sont l'insubordination et manque de respect envers le Directeur Général, l'incitation des autres membres du personnel a la désobéissance et la Communication a des tiers de documents et renseignements concernant l'activité de la société sans autorisation.
Par ailleurs, nous relevons que la décision a été saluée par le personnel. Les travailleurs de l'institution ont salué une décision courageuse du DG, car, des informations recueillies, le concerné s’est toujours cru tout permis à cause de don statut de travailleur "protégé", au point de décréter un préavis de grève en violation de toutes les dispositions légales et réglementaires, comme rapporté samedi.
TK Emile, Abidjan
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Il a eu ce qu'il cherchait. Souvent ce qui arrive à ceux qui se prennent pour des intouchables.
Vraimentl arbitraire se poursuit et ce monsieur en paye les frais. Avant d arriver a la radiation en Cote d Ivoire il y a tout un lot de procedure. En l etat l article ne dit pas si toutes les procedures ont ete suivies pour aboutir a la radiation. Faites Lourdes, manque de respect au DG ou insubordination etc. des motifs qui si averes et precisons le si avere par une commission ne devrait que mener a une action disciplinaire, aujourd hui mene au renvoi. Demain n importe quel Directeur pourra renvoyer un lanceur d alerte, d un syndicaliste ou tout autre personne ayant une idee opposee a la sienne sous le pretexte de l insubordination. Il faille poser les bonnes questions aux travailleurs, pas s attarder sur des sources proches des directions qui sont parfois des affides du Directeur. Quelle est l opinion de l ensemble des travailleurs sur cette decision, hier c etait au conseil de l Entente avec Amon Tanoh plein de zele in peu comme dans bon nombre d EPN ou bien des directeurs se comportent a l Image de celui dont la photo est affichee en grand sur le mur. En empereur ils ne veulent aucune opposition, aucun syndicalisme, preferent instaurer la crainte et s entourer de proches et veulent que les travailleurs marchent et pensent dans leur seul sens meme quand les Resultats sont morribonds dues a leur gestion catastrophique ou que seul le DG et son Clan Profite de la Masse d argent etatique mise a leur disposition avec des salaires et avantages a faire palir un haut cadre de la Beceao ou de la Bad, que les pauvres travailleurs se taisent et les applaudissent quand bien meme beaucoup parmi eux comprennent que l entreprise va droit dans le mur
"Le manque de respect, insubordination par rapport au chef, ... ," ne peuvent constituer un faute LOURDE. Au pire, une faute grave. Il faut prouver l'intention de nuire à l'organisation pour que la faute lourde soit constituée. Au Dramanistan, les qualifications juridiques des sont souvent à des années lumières de la matérialité des faits. On nous dit qu'il a reçu 42 millions d'indemnités, ce qui paraît contradictoire par rapport à une faute qualifiée de lourde. Au pays du dictateur des lagunes, ni le fond ni la forme ne sont pris en compte dans les décisions de justice. Quant aux voies de recours, n'en parlons pas...
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