Côte d'Ivoire : Pour le PDCI, le taux d'endettement et le taux de pauvreté sont deux choses sur lesquelles le RHDP est inégalable
Brédoumy Kouassi Soumaila, porte-parole du PDCI-RDA, était face à la presse, ce lundi au siège dudit parti sis à Cocody. Cette rencontre avec les médias a été initiée en prélude à la session extraordinaire du congrès du plus vieux parti politique ivoirien, prévu le jeudi 30 mars prochain à Abidjan.
Comme à son habitude, le porte-parole du PDCI-RDA, a profité de l'aubaine pour adresser quelques piques au régime en place sur plusieurs aspects de sa gestion du pouvoir. Pour Brédoumy Kouassi Soumaila, la vitalité économique de la Côte d'Ivoire tant vantée par le pouvoir, ne profite pas vraiment à la population puisque le taux de pauvreté actuel est de 35%.
" On nous fait croire que tout va bien, pourtant la population croupit dans la souffrance, car étouffée par la pauvreté. Les chiffres en notre possession indiquent un taux de pauvreté d'au moins 35%. Cela veut dire que sur les 29 millions d'habitants, il y en a au moins 11 millions qui sont pauvres. Il est clair que s'il y a une chose sur laquelle le RHDP est inégalable, c'est bien le taux d'endettement et le taux de pauvreté. On ne peut vraiment pas les concurrencer sur ces deux choses", a-t-il relevé.
Dans la même veine, il a indiqué que la pauvreté, ces dernières années en Côte d'Ivoire, a été délocalisée à l'ouest du pays.
" La pauvreté a été déplacée du nord à l'ouest. 64% des populations dans cette partie de la Côte d'Ivoire sont pauvres et cela est bien visible dans le dernier Programme National du Gouvernement (PND), publié par le ministère du plan et du développement", a-t-il ajouté.
Sur le plan administratif, l'honorable Brédoumy Kouassi Soumaila, au nom du PDCI-RDA, s'est insurgé contre le nouveau découpage électoral, qu'il trouve déséquilibré et injuste. À l'en croire, "le bassin cotonnier de la Côte d'Ivoire ( le nord) a plus de communes que le grand Abidjan". Toute chose qui, dit-il, a un impact manifeste sur les allocations budgétaires.
" Ces inégalités dans les réparations électorales sont des injustices qui n'ont rien à avoir avec l'houphouëtisme. Sur les 11 mille milliards de FCFA du budget, seulement 300 milliards sont destinés aux conseils régionaux et aux communes. Ce n'est pas acceptable", a-t-il décrié.
S'agissant de la session extraordinaire du congrès du PDCI-RDA prévu le jeudi 30 mars, le porte-parole dudit parti a fait savoir qu'elle a pour objectif de travailler sur plusieurs aspects, notamment, l'actualisation et la finalisation de la liste des membres du parti, eu égard aux nombreux départs enregistrés ces derniers temps. Mais aussi d'asseoir un cadre réglementaire dans lequel se dérouleront toutes les activités du parti.
" En prélude à l'organisation du congrès ordinaire, il était important de regrouper le troupeau dans la bergerie face au loup qui arrive. Il faut faire entrer au bureau politique, un certain nombre de cadres. Être en adéquation avec les textes, remobiliser, recompter les membres, vu que beaucoup n'étant plus du parti figurent encore sur notre liste. Il faut donc nettoyer le fichier, l'actualiser, pour bien préparer un bureau politique solide, afin d'aller aux prochains congrès", a-t-il expliqué.
Sur les futures élections locales, le conférencier a confié que le PDCI se dotera d'un calendrier agressif au sens politique du terme.
" Nous répondons présents sur le terrain, nous irons aux combats, nous prendrons part aux débats et nous allons couvrir tout le territoire national. Le PDCI mettra bientôt sur le terrain, des hommes et des femmes pour sortir le peuple du gouffre et de la pauvreté", a-t-il annoncé.
L'honorable Bredoumy Kouassi Soumaila, lors de cette conférence de presse, avait à ses côtés, le professeur Niamké Koffi, président du comité scientifique du congrès et Georges Philippe Ezaley, qui en est le président du comité d'organisation.
Enfin, une sortie du PDCI qui fait suite à des félicitations du FMI et de la Banque Mondiale pour la gouvernance ivoirienne forte d'une croissance et d'un potentiel qui la rende banquable à plus ou moins long terme sur les marchés financiers.
Wassimagnon
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Vous n'avez qu'à appeler Thiam couleur du crédit suisse lol Ils sont à la ramasse, ils ne comprennent vraiment rien.
en cote d'ivoire les opposants savent tout , tout , même formation qu'ils n'ont pas eu ils en parlent comme si ils étaient des connaisseurs.chacun à son domaine .bon si c'est Mr Bedié qui a fait les analyses alors il faut revoir la copie.avec quoi construisons un pays ? la CI sous HB a t'elle été construite gratuitement? avec toutes ces infrastructures construites dans 5 ans , 10 ans , le nouveau président qui serra là n'aura qu'a faire fructifier ces investissements pour rembourser la dette.au quel cas laissez ADO poursuivre son travail à la tête du pays.ADO a dit qu'il sait comment chercher et trouver l'argent c'est ce qu'il a fait et bien fait.et il a construit son pays . c'est ceux même qui achètent nos produits qui donnent les prêts où est le problème? et ceux sont les mêmes donateurs qui félicitent le régime pour sa bonne utilisation des fonds mis à sa disposition.
Il y a un endettement intelligent et un endettement irreflechi et irresponsable. Voici un pays qui passe d un taux d endettement de 21% a 52% sans que le PIB n ait double en 10 ans et les gens applaudissent pour dire qu il construit le pays, un peu comme la Maxim du Zouglou qui disait pour un mirroir il a vendu tout le village . Pour le peu qui est fait en se concentrant sur Abidjan pour faire du tape a l oeil on nous parle de construire le pays. La question est toutes ces constructions valent elles 13000 milliards de Fcfa a un taux d interet allant de 5.5 % a 6.5%?
Philippe Néricault disait que la critique est aisée, mais l'art est difficile. Depuis quand êtes-vous sorti d’Abidjan ? Pour comparer, il faut savoir d’où on vient ? , et à ce niveau il n’y a pas débat avec ses prédécesseurs. Le taux d’endettement n’est pas un baromètre du niveau de développement d’un pays, certains à l’image du japon l’ont à plus de 100% du PIB. C’est sa soutenabilité qu’il faut vérifier et au risque de me tromper la norme communautaire est de 70%. Pour votre votre gouverne, les recettes du pays ont pratiquement qua triplées depuis 2010 avoisinant les 9 000 milliards, c’est le signe d’une productivité. Pour votre gouverne l’endettement est un moyen de développement. Et pour le moment il est soutenable. Ne faites pas comme certains qui comparent la dette d'un pays à celle d'un ménage. Je m'attendais à des critiques sur la gouvernance mais pas à ce niveau. Rappelez vous sous Houphouët ou il n'y avait pas de contrôle budgétaire stricte et de politique de surveillance de la dette, nous avons fleuré les 80% d'endettement et pourtant le vieux s'en est sorti. Le problème de l'Afrique n'est pas l'endettement mais la gouvernance, une gouvernance bonne, juste et vertueuse.
Philippe Néricault disait que la critique est aisée, mais l'art est difficile. Depuis quand êtes-vous sorti d’Abidjan ? Pour comparer, il faut savoir d’où on vient ? , et à ce niveau il n’y a pas débat avec ses prédécesseurs. Le taux d’endettement n’est pas un baromètre du niveau de développement d’un pays, certains à l’image du japon l’ont à plus de 100% du PIB. C’est sa soutenabilité qu’il faut vérifier et au risque de me tromper la norme communautaire est de 70%. Pour votre votre gouverne, les recettes du pays ont pratiquement qua triplées depuis 2010 avoisinant les 9 000 milliards, c’est le signe d’une productivité. Pour votre gouverne l’endettement est un moyen de développement. Et pour le moment il est soutenable. Ne faites pas comme certains qui comparent la dette d'un pays à celle d'un ménage. Je m'attendais à des critiques sur la gouvernance mais pas à ce niveau. Rappelez vous sous Houphouët ou il n'y avait pas de contrôle budgétaire stricte et de politique de surveillance de la dette, nous avons les 85% d'endettement et pourtant le vieux s'en est sorti parce que le problème était la chute des prix du cacao et du café. la solution trouvé un plan de restructuration et d'ajustement économique. Aujourd'hui ces matières premières font moins de 20% du PIB dû à la diversification de notre économie. Notre problème, celui de l'Afrique en général n'est pas l'endettement mais la gouvernance, une gouvernance bonne, juste et vertueuse.
PDCI Daoukro foret lol les pauvre replié sur leurs derniers bastions a dire des bétises par contre le bilan quand il s'agit de garder le nom sur le pont on est fier lol , en meme time ils savent q"il sont incapable d'en faire un de pont lol allez c'est cadeau les gars.. Mesmin le PIB de la RCI a pas bougé et les travaux c'est uniquement a babi, les barrages soubre, les pont a bouaflé qui fludifie le passage et font de la ville un carrefour pour le business, les centrale solaire au nord, la rci devenu apres l'arrivé d'ado numero 1 dans la noix de cajoux , les universités bondoukou, man , etccc les chr , les autoroutes, tout ca fait pas changer notre pays l'elargissement du canal de vridi qui permet l'accostage de bateau geant mon cher si tout ca c'est rien et dans babi on te dit mon cher on veut pas de ton vote lol mais accouche depose ton programme et surtout ton bilan on t 'ecoute a toi la parole nous on est nul on sait mais maintenant dit nous ce que ton bord a fait et son programme actuel lol .... et les notation des agences independante lol
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