

Côte d'Ivoire : Pour un meilleur pourcentage aux examens scolaires, des enseignants lancent «la compétition des classes »
L'Association des Enseignants du Secondaire d'Abidjan (ADESA) présidée par Robert Soumahoro, veut contribuer à l'amélioration des pourcentages aux différents examens scolaires à grand tirage. Cette association pour ce faire, a lancé, le vendredi 10 février 2023, au lycée municipal 1 d'Attecoubé, «la compétition des classes ».
«Nous lançons la compétition des classes qui est un concours qui se veut un moyen de mobiliser les enfants au travail, un moyen de créer une solidarité entre les élèves d'une même classe, pour arranger les pourcentages aux examens en fin d'année. Il faut qu'on arrive à passer de 80% d'échecs à 80% d'admis. C'est cela notre objectif », a expliqué Robert Soumahoro professeur de mathématiques au lycée municipal 1 d'Attecoubé.
Cette initiative bien évidemment concerne les classes d'examen à savoir les CM2, les classes de 3e et les classes de terminale. Elle aura l'avantage de créer une saine émulation entre ces différentes classes d'examen issues des différentes écoles.
«Au delà des performances individuelles que nous avons l'habitude de voir, ce concours lui, privilégie la performance collective. Que dans une même classe d'examen, les plus forts aident les plus faibles et que le travail de groupe soit privilégié. En fin d'année, ce sont les classes qui ont fait les meilleurs pourcentages par niveau qui seront récompensées, ainsi que les formateurs de ces classes lauréates qui recevront des ordinateurs », a-t-il ajouté.
A en croire le président de l'ADESA, cette compétition pour la première édition se limitera au niveau régional d'Abidjan. Elle s'étendra au plan national dès l'année prochaine.


La cérémonie de lancement a vu la présence de plusieurs responsables de l'éducation nationale et du président de la chambre de commerce Ivoiro-portugaise, partenaire de l'initiative.
Wassimagnon



Merci pour l'initiative... Tout ce qui peut amener à améliorer les performances de nos petits et petites sur les bancs est à saluer. Au moins, c'est pas les compétitions de délabrement des moeurs ou prostitution comme c'était le cas sous la république bananière des pervers et du sauteur des fillettes de ses compagnons, j'ai nommé koudou...

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