Côte d'Ivoire
Burkina Faso
Gabon
Congo
Sénégal
Bénin
Afrique du Sud
Angola
Botswana
Burundi
Cameroun
Cap-Vert
Centrafrique
Congo (RDC)
Djibouti
Erythrée
Ethiopie
Gambie
Ghana
Guinée
Guinée Bissau
Guinnée Equator...
Kenya
Lesotho
Libéria
Madagascar
Malawi
Mali
Mauritanie
Mozambique
Namibie
Niger
Nigeria
Ouganda
Rwanda
Sao Tomé
Sierra Leone
Somalie
Soudan
Swaziland
Tanzanie
Tchad
Togo
Zambie
Zimbabwe
Algérie
Comores
Egypte
Maroc
Tunisie
Libye
Afrique
Burkina Faso : L'ambassadeur de France rappelé à Paris pour consultations
Alors que les autorités burkinabè ont demandé son remplacement, l'ambassadeur de France à Ouagadougou a été rappelé à Paris pour "consultations", selon des médias français.
« Nous avons décidé de rappeler notre ambassadeur à Paris, pour mener des consultations sur l’état et les perspectives de notre coopération bilatérale », a fait savoir le Quai d'Orsay.
Selon des sources diplomatiques, KOACI apprend que c'est depuis mercredi soir, à travers un vol commercial d'Air France, que le diplomate français, Luc Hallade, a regagné la capitale française.
Il devra être débriefè sur la situation qui prévaut au Burkina Faso où la présence française est constamment remise en cause, par les populations et les autorités de la transition.
Signe de ce désamour, les autorités burkinabè, désormais sous influence russe selon des sources, ont dénoncé l'accord militaire qui liait les deux pays, laissant un miqbaux 400 soldats de la force spéciale Sabre basé à Kamboinssin, au nord de Ouagadougou, pour quitter le Burkina Faso.
Selon le ministre de la Communication et porte-parole du gouvernement burkinabè, Jean-Emmanuel Ouédraogo, le remplacement de Luc Hallade a été accepté par Paris et son départ était prévu au cours de cette semaine.
Mais au lieu du remplacement, Paris a rappelé son ambassadeur pour "consultations".
Pour l'heure, Luc Hallade, qui est en poste à Ouagadougou depuis 2019 demeure toujours l'ambassadeur, selon des sources diplomatiques
Boa, Ouagadougou
Infos à la une
Des observateurs avertis l'ont dit et redit, l'extrémisme n'est pas la voie à suivre. Ce n'est pas la voie à suivre pour s'affranchir. Oui, NOUS voulons tous notre indépendance mais ce n'est pas en chassant la France pour la remplacer avec la Russie qu'on l'atteindra. Bien au contraire. Que chaque Burkinabè se demande depuis l'arrivée des bidasses voyous vendeurs d'illusions quelle est la situation économique et sécuritaire du Burkina ? PIRE... BIEN PIRE. Bien d'entre eux mangent maintenant des herbes comme reconnu par le bidasse actuel. Aujourd'hui, on ne peut même plus s'hasarder au-delà de la zone centre nord. Les djihadistes ont même frappé au sud jusqu'à la frontière du Ghana. Tout cela était IMPENSABLE avec la pleine coopération française. Si çela peut satisfaire, la présence de la France était un mal nécessaire. Aujourd'hui, la moitié du Burkina est perdue et incontrôlable. Il faut être un idiot ou des idiots hors-pair pour applaudir une telle situation ou s'en réjouir... Des observateurs avertis avaient en effet prévenu des dangers du populisme émotionnel. Ce n'est pas la Realpolitik... La Chine n'a pas engagé un bras de fer direct avec la Grande Bretagne pour sa souveraineté sur Hong Kong en chassant les Britanniques. Elle a su prendre son temps et attendre patiemment son moment opportun. Pareil face aux Américains...People of Burkina, be SMART... On observe...
Pareillement, l'Inde est aujourd'hui la 5ème économie du monde ayant supplanté le colonisateur la Grande Bretagne. Bien au contraire, elle a promu le renforcement des liens pour apprendre de l'occident et les battre... Pour atteindre cet exploit on n'a pas vu l'Inde jeté dehors les Anglais. Aujourd'hui que la Grande Bretagne essaie quoique ce soit, elle comprendra. Les ennemis de notre indépendance ce sont ces extrémistes sauvages panafri-con-istes qui nous enfoncent davantage. Dites-moi combien de Français mangent des herbes ou ont des millions d'enfants fuyant les écoles ? Seule la Realpolitik à la Chinoise ou Indienne nous ferons avancer et nous affranchirons de toute domination. Juste un observateur indépendant de passage...
Communiqués
Côte d'Ivoire
Côte d'Ivoire
Côte d'Ivoire
