Côte d'Ivoire : Procédure de paiement des Bourses et Secours Financiers, la FESCI félicite le Gouvernement tout en exigeant l'augmentation de la somme et des bénéficiaires
Le SG de la FESCI Makélélé en veste (Ph)
La Fédération Estudiantine et Scolaire de Côte d’Ivoire (FESCI) salue et félicite le Gouvernement pour la mise en place d’une nouvelle mesure procédure de paiement des Bourses et Secours Financiers.
La FESCI informe que l’adoption du décret consacre la satisfaction d’une de ses revendications visant à obtenir la bancarisation du paiement des bourses qu’elle porterait depuis plusieurs années.
« Par ailleurs, la FESCI encourage le Gouvernement à poursuivre ses efforts en la matière. En augmentant la somme octroyée à chaque étudiant ou élève boursier ainsi que le nombre de boursiers en Côte d’Ivoire », telle est la doléance faite par son secrétaire Général, Saint-Clair Allah dit Makélélé.
Au terme du Conseil des ministres, le mercredi 04 janvier 2023 à Abidjan, le porte-parole du gouvernement, Amadou Coulibaly, a annoncé que les bourses d’étude des étudiants seront désormais payées par trimestre.
« Le Conseil a adopté un décret portant procédure de paiement des bourses d’étude et secours financiers en Côte d’Ivoire et à l’étranger. Le paiement des bourses des étudiants inscrits dans les établissements de l’Enseignement supérieur sur le territoire national ainsi que des boursiers hors de la Côte d’Ivoire de tous les ordres d’enseignement s’effectue désormais par trimestre », a déclaré le ministre Amadou Coulibaly.
Au nombre des innovations, ce décret introduit, en outre, le paiement des bourses en Côte d’Ivoire par le mobile money, le transfert d’argent et le virement bancaire.
Selon le Porte-parole du gouvernement, ce décret réorganise le circuit de paiement des bourses scolaires et universitaires afin de garantir leur paiement dans les meilleurs délais.
Donatien Kautcha, Abidjan
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La FESCI rejoint donc des observateurs avertis qui avaient salué cette innovation majeure. Innovation qui il faut le dire va mettre fin à leurs propres rackets des pauvres étudiants. Pour le reste, aussi longtemps que nous embrassons les échanges sans violence je crois que le gouvernement du magnanime Ouattara peut y réfléchir... On avance...
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