Côte d'Ivoire-Mali : Optimisme du Togo pour la libération des 46 soldats ivoiriens
Robert Dussey (ph)
L’affaire des 46 soldats ivoiriens détenus à Bamako au Mali qui est moins commentée ces derniers jours continue par préoccuper la médiation togolaise qui continue de mener ses missions de bons offices entre les différentes parties afin d’aboutir à une issue heureuse
Quoique les consultations et les démarches diplomatiques prennent du temps entre Abidjan et Bamako, le ministre togolais des Affaires étrangères, de l'Intégration africaine et des Togolais de l'extérieur, Robert Dussey, a exprimé son optimisme sur la radio Rfi qu’une « solution sera trouvée » à cette affaire.
Sur la durée que prennent les consultations au point de lasser certains, Dussey a déclaré qu’ « Aucune médiation n’est facile mais soyez rassuré que vu la volonté à la fois du Président Alassane Ouattara de la Cote d’Ivoire et le Président Assimi Goita du Mali et l’effort déployé par le Président Faure Gnassingbé, une solution sera trouvée » pour la libération des 46 soldats ivoiriens.
Confiant en l’avenir, le chef de la diplomatie a révélé que « le président Faure Gnassingbé travaille activement pour la libération des 46 autres militaires qui sont toujours détenus » au Mali.
Rappelons qu’au départ, ils étaient 49 soldats ivoiriens à être arrêtés par les autorités maliennes à leur arrivée à l'aéroport international de Bamako le 10 juillet 2022. Le pouvoir transitaire à Bamako les accuse d'être des « mercenaires », une accusation qu’a rejetée Abidjan.
La médiation entamée par après a permis d’obtenir la libération le 03 septembre dernier de 3 femmes soldats dans le groupe et il reste actuellement 46 autres. Avec la Noël et la fin d’année qui se profilent à l’horizon, on peut espérer une évolution dans le traitement du dossier pour que les détenus puissent retrouver leurs proches.
Mensah,
Correspondant permanent de KOACI au Ghana, Togo et Nigeria
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Quand il y a prise d'otages, le preneur d'otages finit par s'essouffler quand aucune de ses demandes n'est satisfaite. On ne fera pas de chantages à la CIV en demandant par exemple le limogeage de VP à la BOAD (institution sous-régionale). C'est clair que cela n'a rien à voir avec des soldats qui pourtant furent arrêtés (tous en uniforme) pour dit-on confusion sur paperasse administrative ou même tentative de coup d'état au Mali. Seuls les panafricons du parti du chien galeux polygame koudou peuvent y croire. Des observateurs avertis l'ont souligné, tchoco tchoco nos frères en otage seront libérés et cela sans contrepartie aucune. Entre autres, j'invite les pseudo panafricanistes à allez au Mali. Le pays est actuellement en déliquescence aussi bien économiquement que socialement. Voici la vraie réalité que le bidasse Goïta cache aux Maliens mais pour combien de temps encore. Tout comme au Burkina, la version extrémiste de ce faux panafricanisme a échoué et plongé ces pays dans le chaos. Nous l'avons dit, oui, nous devons nous affranchir, mais pas de manière suicidaire comme au Mali et Burkina. Aujourd'hui oar exemple, plus d'un million d'enfants Burkinabeé, PAS FRANÇAIS, ont fui leurs écoles. En quoi cela impacte la France ? Qui en souffre ? Le Burkina ou la France ? Que les pseudo panafricanistes émotionnels y pensent... Soyons smart ! C'est tout ! On observe...
djo nos gars sont des forces spéciales entrainés au danger, gardez les quand vous aurez fini on verra , pour le moment vous savez que vous pouvez rien leur faire ils rentreront tot ou tard ...... apres faudra bien entendu pas en vouloir si les relations sont plus les mêmes. vous pourrez garder Aicha koné pas utile dans la nouvelle RCI
Ça te brûle fort. Prends courage.
Le faux super puissant qui n'est rien sans le soutien de la France demistifié par le Mali. N'importe quoi. On avance.
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