Côte d'Ivoire : Victimes de la cybercriminalité, voici la procédure à suivre pour dénoncer les « brouteurs »
Les victimes de la cybercriminalité sont désormais édifiées sur les démarches à suivre afin de porter plainte.
La procédure est la suivante : se rendre à la Plateforme de lutte contre la cybercriminalité (PLCC) muni des éléments de preuves ; se faire conduire au service de plainte pour une meilleure prise en charge ; procéder à l’enregistrement de votre plainte.
Il faut noter que, le dépôt de plainte et les prestations de la Plateforme de lutte contre la cybercriminalité (PLCC) sont gratuits.
Après la création de la Plateforme en 2011, le gouvernement va renforcer, en 2013, l’arsenal juridique en adoptant la loi n°2013-451 du 19 juin 2013 portant lutte contre la cybercriminalité.
Le dispositif de lutte se corse davantage, en mars 2019, par la ratification de la Convention de Budapest sur la cybercriminalité du Conseil de l’Europe. Cette convention permet à la Côte d’Ivoire de bénéficier d’une collaboration internationale dans sa lutte, pour une meilleure efficacité.
Créée en 2011, la PLCC est au contact des citoyens victimes d’actes de cybercriminalité et de crime technologique. Elle reçoit des plaintes, enquête et fait des interpellations.
Donatien Kautcha, Abidjan
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Ah, le broutage. Merci pour cet article à conserver. Ce phénomène a en effet la peau dure. Mes chers compatriotes on se rappelle que ce fléau a commencé et été institutionnalisé sous le régime catastrophique du chien vaurien koudou. Vraiment, ces mécréants de la refornication, pardon refondation, ont tout détruit dans ce pays. Thankfully, aujourd'hui, on avance très très très fort et vite... Juste un observateur et indépendant de passage...
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