Mali : Des affrontements entre le Gatia et l'EIGS font plusieurs morts dans le nord
Groupes armés (ph)-
Des combats opposant des jihadistes de l’EIGS, la branche sahélienne du groupe État islamique et au Gatia, groupe armé signataire de l’accord de paix de 2015 ont fait des dizaines de morts, apprend-on.
Les affrontements se sont déroulés dans les régions de Ménaka et Gao, dans le nord du Mali.
L'information a été confirmée par des élus locaux sous couvert d'anonymat , pour des raisons sécuritaires.
Selon le GATIA, les combats ont débuté lorsque des éléments lourdement armés de Daech, ont fait irruption dans le campement d'Ahina dans la commune d'Anchwadj ( Région de Gao)
Le bilan des affrontements n'a pas été clairement défini.
Via leur organe de propagande ités par le centre américain de surveillance des sites jihadistes SITE, les groupes jihadistes affiliés à Al-Qaïda et à l'EIGS affirment avoir tué 40 combattants du Groupe de soutien à l'Islam et aux musulmans (GSIM, JNIM en arabe) dans la région de Ménaka.
De son côté , le Gatia évoque la mort de plus de 70 membres de l'EIGS mais reconnaissant avoir perdu une trentaine d'hommes.
Depuis huit mois, la région de Ménaka est le théâtre d'affrontements entre ces groupes jihadistes rivaux, et de combats entre jihadistes et groupes armés essentiellement touarègues qui ont signé des accords de paix avec le gouvernement en 2015.
Dans cette partie du pays, l'Etat y a une très faible présence et les populations ont pour la plupart trouvé refuge dans la ville de Ménaka.
Infos à la une
Voici les vrais problèmes du petit Mali que le bidasse Goita essaie de camoufler avec sa distraction avec son tout-puissant voisin du sud. Ce voisin du sud qui sous la houlette de Ouattara est devenu en 10 ans le pays le plus riche de la sous-région ouest-africaine. Dans tous les cas, tchoco tchoco, nos frères en otage rentreront sans compromis aucun. La contre-attaque diplomatique du sage Ouattara a mis bien de fourmis dans les petits souliers du chef de guerre malien qui cherche une perche (de Ouattara) pour s'en sortir à travers maintes supplices souterraines. Hélas ! On observe...
Communiqués
Côte d'Ivoire
Côte d'Ivoire
Côte d'Ivoire