Côte d'Ivoire : Affaire des 46 soldats ivoiriens, Faure Gnassingbé, Akufo-Ado et Adama Barrow annoncés jeudi à Bamako, vers le dénouement de la crise ?
Akufo et Gnassingbé
Initialement prévu pour le mardi 27 septembre 2022 et reporté à cause de l’agenda des autorités maliennes, c’est finalement ce jeudi 28 septembre 2020, que la délégation de Haut Niveau de la Commission Economique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) se rendra à Bamako, au Mali.
Ladite délégation sera conduite par les chefs d’Etats du Togo, Faure Gnassingbé, Nana Akufo-Addo du Ghana et Adama Barrow de la Gambie.
Leur arrivée est prévue le 29 septembre 2022, à partir de 10h 30, et leur départ est prévu le même jour à partir de 16h 00.
Cette mission dite de la dernière chance devrait aboutir à la libération ou non des 46 soldats ivoiriens détenus au Mali depuis le 10 juillet 2022 et surtout dissiper les malentendus entre la Côte d’Ivoire et le Mali.
Le président sénégalais et en exercice de l’Union Africaine (UA), Macky Sall, qui devait faire partie de la délégation conformément au sommet de la CEDEAO tenu le 22 septembre dernier à New York, a été empêché. Il a été remplacé par son homologue de la Gambie, Adama Barrow.
Toute la sous-région retient son souffle...
Donatien Kautcha, Abidjan
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Ahuuu. Donc ils ne sont plus injustement détenus !? Au lieu de reconnaître vos erreurs, vous jouez les victimes. Avec la mauvaise foi et la manipulation, vous faites l'harmonisation de vos dires. Bande de cons.
Ces voyous au pouvoir au Mali savent que ADO est un homme de paix et profondément humain, c'est pour cela qu'ils se comportent de la sorte. Ils savent que ADO est de la vieille école. Ne jamais taper le 1er ( surtout sur un plus faible que soit) et si même on te tape et que ça ne t'empêche pas d'avance, rester tranquille et chercher jusqu'à l'impossible une solution à l'amiable. C'est pour ces raisons là qu'ils jouent avec ADO comme s'il était leur grand-père.
Est-ce le journaliste lui même qui a omis le terme "injustement'' détenus et écrit : "dissiper les malentendus entre le Mali et la CI'' ou bien, ces termes ont été expressément bannis ou ''nettoyés'' dans la feuille de route de ces médiateurs de la CEDEAO ?Un médiateur est par définition neutre. Aller au Mali avec ces termes reviendrait à dire que ces médiateurs ne plus neutres, mais ont un parti pris. C'est quand même pertinent, car nous l'avons dit ici, contrairement à la violence et aux zozoteries des militants bornés du rdr, quand dans une négociation, vous n'êtes pas en position de force, pour aboutir à une issue gagnant-gagnant, vous avez intérêt à adopter un positionnement de SUIVEUR; c'est a dire : avoir un discours moins violent, carresser l'autre dans le sens des poils ou admettre qu'on a tort. Ces médiateurs l'ont s'y bien cerné pour sortir nos soldats de ce pétrin. Cette nouvelle posture de la CI a travers cette méditation (enfin ! Je l'espère. Ce n'est pas une initiative du journaliste), peut être un tournant dans la libération des "46", si seulement et si, cela peut assouplir la position malienne.
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