Côte d'Ivoire : Et pendant ce temps, la fraternité et la cohésion sociale entre les pays de la CEDEAO célébrées à travers le sport à Abidjan, les regrets d'Alcide Djédjé
Alcide Djédjé remettant la coupe à l’équipe du Burkina à Abidjan (Ph)
La sélection de football du Burkina Faso version Coupe d’Afrique des nations (CAN) Communauté Economique des Etats de l’Afrique de l’Ouest d'Anoumabo (Abidjan-Marcory) a remporté la finale de la 9ème édition du tournoi de la fraternité et de cohésion sociale entre les populations de la CEDEAO en s'imposant aux Eléphants de Côte d'Ivoire version CAN CEDEAO par le score de 3 buts à 0.
Le match s’est disputé au stade de football du village d'Anoumabo, dans la commune de Marcory qui était plein à craquer.
C’était en présence du parrain de la finale, l'ex-ministre délégué chargé de l’Intégration africaine , Alcide Djédjé, du maire de Marcory, Aby Raoul, du conseiller technique au ministère des Affaires étrangères chargé des communautés, l’ambassadeur de la paix, Emile Kima (soutien permanent de ce tournoi de football de la cohésion sociale), des conseillers économiques , sociaux et environnementaux Salif Traoré dit A'salfo (ambassadeur de la paix et lead vocal du groupe musical Magic System) et Abdoulaye Traoré (ex-international ivoirien de football) ainsi que Mariam Dao Gabala, sénatrice, ambassadrice de la paix et ex-présidente du comité de normalisation de la Fédération ivoirienne de football (FIF).
Le chef du village d'Anoumabo, Thomas Bri Amon, une forte délégation des soldats des Forces françaises en Côte d'Ivoire (FFCI) et bien d'autres personnalités étaient également présents.
C'est Richard Pastoré (1er but) et le doublé de Jean Fabrice Dji qui ont permis à l’équipe du Burkina Faso de remporter cette 9ème édition de la CAN CEDEAO d'Anoumabo face à une équipe des Eléphants de Côte d'Ivoire qui n'a pas pu inscrire de but.
Pour l’ex-ministre Alcide Djédjé, « Le football étant un vecteur d'union et de fraternité, le tournoi d'Anoumabo constitue une initiative opportune en ce sens qu'elle permet de renforcer les liens entre les différentes communautés de la CEDEAO vivant en Côte d'Ivoire et principalement dans le District d'Abidjan ».
Selon ce dernier, il faut prôner la cohésion sociale entre les peuples en vue de l'intégration en Côte d'Ivoire, mais aussi dans la sous-région.
Alcide Djédjé regrette cependant les problèmes d'incompréhensions entre les pays de la sous-région. Il demande aux différents chefs d'Etat de se surpasser pour éviter des crises qui vont mettre à mal la stabilité de la sous-région déjà confrontée à la menace terroriste.
Donatien Kautcha, Abidjan
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Euh!! Y a t-il des problèmes de cohésion sociale entre les peuples de la CEDEAO en CI ou entre les ivoiriens et les peuples de la CEDEAO en Côte d'Ivoire !? Il y a bien plus de problèmes de cohésion sociale entre les ivoiriens eux-mêmes à travers les récurrentes crises intercommunautaires entre dioula et reste de la CI. Les derniers événements malheureux a N'douci le démontrént. A ma connaissance, depuis le passage du gnl Appalo mué en médiateur de la République depuis un certain temps pour calmer ces crises intercommunautaires, aucune initiative forte n'a été prise pour prévenir ce genre de crise. Restons concentrés sur les vrais problèmes des ivoiriens qui minent notre société et nos élections présidentielles.
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