Côte d'Ivoire : Violences électorale en 2020, la cellule spéciale d'enquête préconiserait la poursuite de tous les auteurs moraux et financiers, vers le jugement des opposants épinglés ?
Bédié à la tête du CNT en 2020 (
Du nouveau sur les violences survenues lors des élections présidentielles de 2020.
À l'appel d'opposants, des manifestations de rue avaient été organisées pour contester la candidature du Chef de l’Etat, contraint de se représenter dans un contexte de décès soudain du candidat d'alors du RHDP à l'approche du scrutin. Fut également suspecté un plan de déstabilisation via des armements à l'intérieur du pays, principalement dans le V Baoulé.
Ces violences électorales (politiques et intercommunautaires) ont fait au moins quatre-vingt-cinq (85) morts et près de cinq cents (500) blessés dans le pays entre août et novembre 2020, a-t-on appris de source officielle.
Selon nos informations, la cellule spéciale d’enquête préconiserait la poursuite de tous les auteurs moraux et financiers et de procéder au jugement, dans les plus brefs délais, de tous les auteurs d’infraction par les juridictions.
Lors d’une conférence de presse en décembre 2021, le Procurer de la République, Adou Richard, présentant p le rapport d’activités de l’Unité spéciale d’enquête qu’il dirige sur les violences politico-ethniques de 2020, avait indiqué que 273 personnes étaient impliquées et a épinglé de nombreux responsables politiques d’opposition comme commanditaires et financiers des violences. En tête : Henri Konan Bédié, président du Parti démocratique de Côte d'Ivoire-Rassemblement démocratique africain (PDCI-RDA) et chef de file de la désobéissance civile.
Selon Richard Adou, Henri Konan Bédié peut être poursuivi, malgré son statut d’ancien chef de l’État. Le procureur d'Abidjan a invoqué, l’article 54 de la loi de 2005 sur le statut des anciens présidents. Cet article permettrait de juger un ancien chef de l’État comme n’importe quel justiciable en cas d’infractions commises en période électorale.
Le PDCI-RDA avait rétorqué que cela « ne peut s’entendre que dans le cas où une élection régulière, conforme aux termes de la Constitution ivoirienne ».
Avec les injonctions données par la cellule spéciale d’enquête, les opposants ciblés seront-ils poursuivis par la Justice, au moment où un accord a été signé dans le cadre du Dialogue Politique, gage actuellement du climat calme qui règne dans le Pays ?
Donatien Kautcha, Abidjan
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Procureur Adou faites appliquer la lois dans tout sa rigueur eux même on la chance koudou les aurait mitraillé comme les maman d'abobo tchrrrrrrrrrrrrrrrr
Vous auriez pu écrire " procuraillon" au lieu de "procurer". Ça aurait fait plus de sens.
Les Ivoiriens et la communauté internationale( sauf la France et rdr rhdp) reconnaissent qu'il n'y a pas eu election.Il y a eu troubles à cause du 3eme mandat anticonstitutionnel de Dramane Ouattara. Cissé Bakongo le sait et disait en son temps que Ouattara ne pouvait pas briguer un 3ème mandat. Adou Richard se lancer à la recherche du Gbaka vert. N'importe quoi.
En 2010, Gbagbo conteste la victoire du candidat de la France, Dramane Ouattara, le rdr et leur rébellion déclarent la guerre a GBAGBO : 3000 morts, mais Dramane Ouattara et le rdr ne sont pas (aussi) responsables. C'est Gbagbo seul qui a déclaré et fait seul cette guerre. En 2020, Dramane Ouattara, devenu président depuis lors, viole la constitution et fait un 3e mandat illégal,, l'opposition appelle à la désobéissance civile : 85 morts, mais Dramane Ouattara ni le Rdr qui a pourtant appelé ses militants (dont le gbaka vers bourré de microbes) à se substituer à la force publique ne sont encore responsables de rien dans ce pays.
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