Côte d'Ivoire
A la suite de son discours à Songon, le 19 mars 2022, des adversaires politiques, aidés en cela par une certaine presse telle que Jeune Afrique, ont grossièrement tenté de faire passer les propos du Président Laurent GBAGBO comme étant « éthnicistes » et visant à une « manipulation des masses » pour « un repli identitaire ».
Ces allégations prêteraient à sourire si l'histoire récente de la Côte d'Ivoire n'avait pas été aussi dramatique.
L'urbanisation sauvage de la ville d'Abidjan a eu des conséquences sociales et environnementales graves. Cela est un fait que le Président Laurent GBAGBO a tenté d'expliquer sous un angle historique.
Qui peut sérieusement feindre d'ignorer la surpopulation à Abidjan, la paupérisation des habitants, et l'explosion de la délinquance ?
L'enjeu est de savoir quelle solution y apporter et non pas de s'enfermer dans un « tout va très bien » appuyé par une « émergence » illusoire pour la plupart des ivoiriens.
Le Président Laurent GBAGBO a donc invité le PPA-CI à faire un travail en profondeur d'analyse sur le développement de la ville d'Abidjan, pour ne plus reproduire les mêmes erreurs dans les autres villes du pays, et d'y apporter des solutions concrètes.
Cette préoccupation n'est pas ethnique mais environnementale et sociale.
Le développement du pays ne peut se faire sans ses populations. Tenter de le faire et poursuivre cela est dangereux. Tel est le message que le Président Laurent GBAGBO a lancé lors de son discours.
L'environnement doit être une préoccupation nationale et non une question ethnique.
Ces préoccupations environnementales ne se limitent pas à la ville d'Abidjan. En effet, il est regrettable que l'industrie mondiale du chocolat, par exemple, soit le premier facteur de déforestation en Côte d'Ivoire.
Il est regrettable qu'un grand nombre de parcs nationaux et d'aires protégées de Côte d'Ivoire aient été entièrement ou presque défrichés, et remplacés par des exploitations de cacao.
Il est dramatique que l'éléphant, symbole de notre pays, ait vu son espèce ainsi que d'autres, décimés, en raison de la conversion des forêts à d'autres fins.
Aujourd'hui, la couverture forestière est presque inexistante.
Parmi les causes de la déforestation, il est dénoncé « l'application insuffisante des lois ».
L'incapacité du gouvernement ivoirien à lutter efficacement contre cette déforestation aurait même été fortement critiquée, dans une lettre adressée au Premier Ministre de la Côte d'Ivoire, par notamment l'Union Européenne et la France.
Compte tenu de cette situation, le Président Laurent GBAGBO a nommé Monsieur LOKROU Vincent-Pierre, au sein du Conseil Stratégique et Politique, avec une mission particulière sur les questions environnementales.
Les effets d'annonce et les nouvelles politiques qui n'existent que sur papier ne permettront pas la reforestation de nos forêts, la hausse du pouvoir d'achat, et la lutte contre la précarisation de nos populations.
Il est vraiment temps de cesser ces vaines manipulations journalistiques et politiciennes. La Côte d'Ivoire mérite mieux, et ne saurait se voir privée du vrai débat sur les questions notamment sociales et environnementales par une loi de Godwin tropicalisée.
Me Habiba TOURE
Porte-Parole du Président du PPA-CI
Habiba TOURE
Cheffe de Cabinet
De l'Ancien Président de la République,
Son Excellence, Monsieur le Président Laurent Gbagbo
Nous(intelligents) qui avons suivi AVEUGLEMENT Mr- Allassane DRAMANE Ouattara dans l'opposition;.. nous nous rendons compte que Koudou Gbagbo ; seul sans ces chiens de garde du FPI; voyait MIEUX que notre pharaon-Pissanci......
Les ivoiriens sont tellement intelligents, qu'ils n'accordent même plus attention à ces mensonges et montages grossiers du rdr et de ses militants de moutons. Ce sont des "souffrants" qui ne se remettent toujours pas de l'acquittement de GBAGBO et de son retour triomphal au pays. Qu'ils boivent du "nassidji", ça va leur passer.
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