Mali : Une transition de 36 mois puis de 24 mois, la CEDEAO dit non à la junte au pouvoir
Assimi Goita et le médiateur de la CEDEAO ,Goodluck Jonathan
Aucun accord n'a été trouvé entre la CEDEAO et la junte militaire au pouvoir sur la durée de la transition, a-t-on appris.
Après deux jours de visite, les 18 et le 19 mars, le médiateur ouest-africain pour le Mali, Goodluck Jonathan s'en est allé de Bamako sans obtenir de la junte une date des élections pour un retour au pouvoir des civils.
Dans un communiqué publié après le départ de M. Jonathan, le gouvernement du Mali affirme avoir soumis un chronogramme relatif aux "élections avec un délai de 36 mois (trois ans) pour la transition.
Mais cette proposition n'aurait pas été acceptée par le médiateur" ouest-africain puis le gouvernement dit avoir proposé "un nouveau délai de 29 mois", que le colonel Assimi Goïta, dans un effort ultime visant à parvenir à un compromis réaliste (...) a ramené à 24 mois", selon le communiqué.
Le Mali a été durement frappé par des sanctions économiques de la CEDEAO en janvier après la décision de la junte militaire au pouvoir depuis le coup d’État de 2020 de prolonger la transition de cinq ans.
Toutefois, la transition en place bénéficie du soutien de la population malienne.
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Ce "BadLuck" J. est encore là ? ? Son accoutrement noir luciférien se passe de commentaire. Voilà le genre de personnage qui se déguisent en religieux pour pratiquer de la pédophilie. BadLuck fut un des acteurs majeurs à avoir contribué négativement à la crise Ivoirienne. A. Goïta doit éviter de suivre les propositions de ce diable habillé en robe noire...
Une transition de 24 mois est compréhensible...... Nous Ivoiriens, avons fait une grave erreur en voulant aller vite aux élections avec l'ex- pouvoir militaire de feu- Guéi Robert... Nous continuons de souffrir des effets de cette rapide transition qui avait été mal conduite.
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