Côte d'Ivoire : Pour l'ex-Député Kando Soumahoro, Soro fut une « chance » pour la rébellion
Kando Soumahoro et Soro (Ph)
L’ex-député Kando Soumahoro croit savoir que la réconciliation, malgré une accalmie remarquable dans le pays, est menacée.
Pour l’homme politique proche de l’ancien président de l’Assemblée Nationale, si cette question lui parait menacée en temps de paix, son mentor aura été une chance pour la rébellion (2002-2011), qui a fait des milliers de morts selon plusieurs rapports des ONG.
« Si la réconciliation en temps de paix est menacée, nous sommes rassurés de dire que Soro Guillaume a été une chance pour la rébellion ivoirienne sinon nous serions encore en train de nous entre-tuer », a posté l’ancien militaire, ce mercredi 16 février 2022, et soutenir. « Merci à Gbagbo pour ce sacrifice du pardon et du partage. Deux vrais patriotes. »
La crise politico-militaire en Côte d'Ivoire commence le 19 septembre 2002, lorsque des soldats rebelles dont certains seraient venus du Burkina Faso tentent de prendre le contrôle des villes d'Abidjan, Bouaké et Korhogo Ils échouent dans leur tentative de prendre Abidjan, mais parviennent à occuper les deux autres villes, respectivement dans le centre et le Nord du pays.
La rébellion qui prendra plus tard le nom de « Forces nouvelles » occupe progressivement la moitié nord du pays, le coupant ainsi en deux zones géographiques distinctes : le sud tenu par les Forces armées de Côte d'Ivoire (FANCI) et le nord tenu par les Forces armées des Forces nouvelles (FAFN).
Un début de solution se profile le 24 janvier 2003 avec la signature des accords de Linas-Marcoussis. Cependant, une brusque crispation en novembre 2004 remet en cause toutes les avancées obtenues.
Une promesse de règlement final se dessine enfin avec la signature de l’accord politique de Ouagadougou le 4 mars 2007, avant d'être remis en cause à l'occasion de l'élection présidentielle ivoirienne de 2010 et de la crise politique qui en résulte.
Cette situation se résout à la suite de la victoire militaire des Forces républicaines de Côte d'Ivoire lors de la guerre ivoirienne de 2010-2011.
Donatien Kautcha, Abidjan
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Il fut une chance, c'est discutable, aujourd'hui, il n'est plus grand-chose. On parle de Soro au passé.
En tout cas, SKG a été une chance pour la rébellion pour 3 raisons : 1....... Organiser et financer une rébellion sans un sou dans la poche et atteindre ses objectifs. Un genis !! 2....... Assumer la paternité de la rébellion sanglante pendant que le sauteur de clôture et sa clique de trouillards en tirent les bénéfices aujourd'hui. un faiseur de prince donc....... 3. Grâce à sa rébellion qu'il a financée en étant un étudiant moisi, des chefs de guerre et buveurs de sang des ivoiriens sont promis a des hautes fonctions dans l'armée et l'administration publique par celui qui a juré ne pas connaître les chefs de guerre. Quel don de soi de SKG et quelle reconnance de ses efforts. Vraiment, il fut une chance pour la rébellion
c'est un point de vu de ce que je comprends en tout je connais aucune formation politique ivoirienne qui attend soro lol !!! mais bon comme tu le dis c'est ton MENTOR donc ceci explique cela. je te conseille d'aller vivre le paradis auprès de lui a défaut de voir son bilan ici en RCI, vu comment il a perdu son siege a ferké je pense que les choses sont claires
@marius pas mal quand on est l'élevé de koudou hein !!!!! parce que tu sais qui étais patron de la fesci avant Blé la machette votre taupe pensais faire son travail dans notre camp mais ce qui l'a confondu c'est qu'il est comme vous jamais de bilan que des morts et du blabla derrière vous !!!! plaisantins numéro 1
J'ai tout simplement démontré que SKG fut une chance pour la rébellion avec des arguments. Démontre tout simplement le contraire petite cervelle trouée, incapable de construire une phrase cohérente, encore moins d'élaborer un argumentaire. C'est avec un crâne si vide, que je vais gaspiller mon latin ?! Pouaaaah !!! Tocard notoire.
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