Les boulangers et de pâtissiers menacent d'augmenter le prix du pain à cause de l'augmentation des intrants. Le Gouvernement rassure que cette situation n'arrivera.

Le Porte-parole du Gouvernement annonce que le ministère du Commerce et de l'industrie recevra la corporation des boulangers afin d'analyser la situation et que l'impact ne puisse pas se ressentir sur le consommateur final, tel que ça été fait quand on eu le premier choc au niveau du prix du blé.

Par ailleurs, le Gouvernement est préoccupé par la situation d'augmentation du coût du papier dénoncée par le GEPCI. Son porte-parole soutient que pour ce qui est du GEPCI, les discussions sont en cours pour voir quels sont les efforts qui peuvent être fait pour qu'il n'y ait pas une répercussion sensible du coût du papier à l'étranger sur la production locale des journaux.

Il assure enfin que, ce sont des circonstances que le Gouvernement prend à bras le corps.

«Pour ce qui est de l'augmentation du prix du pain, il y a une menace de boulangers et de pâtissiers. Il faut savoir que nous sommes dans une conjoncture mondiale où nous avons globalement une augmentation du prix des matières à l'extérieur. Le GEPCI au nom justement de cette augmentation du coût du papier, une augmentation qui avoisine les 50% se retrouve aujourd'hui dans une situation où les imprimeries locales veulent également augmenter le coût de l'impression. Ce sont des circonstances qui échappent au pays, mais le rôle du Gouvernement est de prendre toutes les dispositions pour que les répercussions de ces augmentations de coûts d’intrants à l’étranger ne viennent pas peser de façon sensible sur le consommateur final qu’est le citoyen.

Pour ce qui est du pain, vous avez une conjoncture mondiale qui fait que le coût du blé a augmenté, c'est partout, ce sont tous les pays du monde qui sont touchés, vous savez que le ministère du Commerce et de l'industrie avaient reçu les différents acteurs de la filière pour voir quels sont les efforts qui pourraient être faits dans la chaîne de production de façon à ce qu'il n’y ait pas d'impact sur le consommateur final.

Pour ce qui est du GEPCI, les discussions sont en cours pour voir quels sont les efforts qui peuvent être fait pour qu'il n'y ait pas une répercussion sensible du coût du papier à l'étranger sur la production locale des journaux. Ce sont des situations que le Gouvernement prend à bras le corps.

Il n'y a aucun doute le ministère du Commerce et de l'industrie pour ce qui est des boulangers recevra la corporation afin d'analyser la situation et que l'impact ne puisse pas se ressentir sur le consommateur final, tel que ça été fait quand on eu le premier choc au niveau du prix du blé ».

Wassimagnon