Côte d'Ivoire : Le président de la CPI, Piotr Hofmański revient sur les raisons de l'annulation du mandat émis contre Simone Gbagbo et annonce que les enquêtes se poursuivent
Simone Gbagbo (Ph)
Le 10 novembre 2021, le Président de la Cour pénale internationale (CPI), M. le juge Piotr Hofmański a présenté le rapport annuel de l’Institution Judiciaire à l'Assemblée générale des Nations Unies.
Le présent rapport, qui couvre la période allant du 1er août 2020 au 31 juillet 2021, est présenté conformément à l’article 6 de l’Accord régissant les relations entre l’Organisation des Nations Unies (ONU) et la Cour pénale internationale (CPI).
A cette occasion, le polonais est revenu sur la situation en Côte d’Ivoire notamment l’acquittement de Laurent Gbagbo et Charles Blé Goudé et l’annulation du mandat d’arrêt émis contre Madame Simone Ehivet Gbagbo.
Concernant le cas de l’ancienne première Dame, le juge Piotr Hofmański, est revenu sur les raisons qui ont poussé la Chambre préliminaire II à abandonner les charges.
« Le 19 juillet 2021, la Chambre préliminaire II a fait droit à la demande du Procureur, datée du 15 juin 2021, d’annuler le mandat d’arrêt contre Simone Gbagbo. La Chambre a conclu que les faits établis en première instance et en appel dans l’affaire Laurent Gbagbo avaient clairement montré que les éléments de preuve sur lesquels le mandat d’arrêt contre Simone Gbagbo avait été fondé ne pouvaient plus être considérés comme satisfaisants au niveau de preuve requis », a-t-il expliqué.
Piotr Hofmański a rappelé que, le 8 septembre 2020, la Chambre préliminaire II a informé le Fonds au profit des victimes que les activités que celui-ci proposait de mener en Côte d’Ivoire dans le cadre de son mandat d’assistance, telles qu’exposées dans son statut et règlement, ne semblaient préjuger d’aucune question sur laquelle devait se prononcer la Cour.
Le juge a également informé, que le Bureau du Procureur a effectué plusieurs missions en Côte d'Ivoire et continue de recueillir des éléments de preuve concernant les crimes qu’auraient commis les autres parties impliquées au cours des violences qui ont suivi les élections présidentielles de novembre 2010.
Donatien Kautcha, Abidjan
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Très bien ! On attend que l'autre partie, celle des vrais violeurs et tueurs des ivoiriens que sont Dramane Ouattara, le rdr et leurs armées (frci, militants du rdr, dozos, microbes, syndicats, gnambro,...) pasent aussi à la CPI. Simple logique.
La CPI n'est pas dirigée et manoeuvrée par Adou Richard, notre Roi et sa photocopie. Rélis ou ré-étudies un peu l'histoire de la politique des guerres dans le monde depuis ces 100 dernieres années et tu comprendras mieux les faits.
Moi, je lis ce qui est écrit : le procureur de la CPI enquête dans le camp de Dramane Ouattara et du rdr. Toi, ton raisonnement est le fruit de ton addiction a la drogue. Relis donc l'article.
La justice est-elle qu'elle est. Tu peux commanditer des meurtres, tuer, violer, voler(argent), assassiner ton papa ou man, tuer ta femme ou ton mari, agresser autrui SCIEMMENT et etre acquitté par la justice pour un soi-disant "faute ou manque de preuves". Si non Koudou Gbagbo et Blé Goudé ne devraient pas etre acquittés. De meme Ehivet Simone qui avait poussé son mari dans l'ombre á faire cette sale et stupide de guerre, devrait elle-aussi etre punie par la CPI.
Arrête de fumer ta drogue quotidienne et relis les conclusions du juge de la CPI qui a acquitté blé Goudé et gbagbo. C'est cela que nous retenons et non tes fantasmes basés sur des "sinon".
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