Wagner

La Guerre entre la France et la Russie perdure en Centrafrique. Le gouvernement centrafricain a été appelé à rompre toute relation avec les paramilitaires russes, accusés de harceler et d'intimider violemment" des civils.

L’appel a été lancé mercredi par un groupe d'experts de l'ONU, dont nous ignorons la tendance, qui dénoncent des actes d’intimidation et de harcèlement des mercenaires russes sur des civils centrafricains.

« Nous sommes extrêmement préoccupés par les actes d'intimidation et les récentes informations faisant état de harcèlement violent commis par le personnel militaire et de sécurité privé à l'encontre d'individus et de communautés", ont déclaré les experts de l'ONU dans un communiqué.

Les experts disent avoir reçu des informations selon lesquelles des membres du Groupe Wagner auraient commis des viols et des violences sexuelles à l'encontre de femmes, d'hommes et de jeunes filles dans de nombreuses régions du pays. 

Dénombrer ces violences est quasi impossible "car les survivants sont terrifiés à l'idée de saisir la justice par crainte de représailles", ont-ils ajouté.

Avec l’appui des centaines de paramilitaires russes du groupe Wagner , les forces centrafricaines ont réussi à repousser au début de l'année une vaste contre-offensive contre des groupes rebelles.

Début octobre, les autorités de Bangui ont reconnu une partie des accusations formulées en mars par l'ONU notamment sur des crimes et actes de torture, commis "majoritairement" par des rebelles, mais aussi des soldats centrafricains et leurs alliés "instructeurs russes".