Côte d'Ivoire : Bouaké, crime crapuleux, le corps sans vie d'un instituteur retrouvé égorgé et portant des coups de poignard
(photo illustration)
Les circonstances de la mort de cet instituteur qui s'apprêtait à entamer sa deuxième année de service ne laissent aucun doute; il s'agit d'un meurtre bien planifié.
Un corps sans vie portant plusieurs coups de poignard puis égorgé, c'est dans cet état qu'a été découvert le défunt Youssouf Kamagaté, instituteur d'une trentaine à l'Epp Yaokoffikro, une école située dans le quartier de Tchèlèkro à Bouaké.
Ce drame qui s'est visiblement produit le vendredi 27 août 2021 dernier laisse l'épouse de cet instituteur sans voix.
En effet, comme rapporté à KOACI par des sources concordantes, le cadavre de Youssouf Kamagaté portait des traces de coups de poignard.
N'ayant pas les nouvelles de son mari, les craintes de la compagne de l'instituteur ont été justifiées par le fait que ce dernier ne répondait plus aux incessants coups de fil qu'elle lui avait passé dans la nuit du drame.
La veille du drame, cette dernière s'était rendue chez ses parents avec son mari. Elle avait été devancée par ce dernier qui a regagné le domicile conjugal.
Son époux ne répondant plus au téléphone, la femme de l'instituteur va se précipiter chez eux face à cette situation qu'elle jugeait de bizarre.
À leur domicile, l'épouse va se rendre compte qu'il y avait des traces de sang à divers endroits à l'entrée de leur demeure.
C'est ainsi qu'elle alerte le bailleur et quelques collègues de son époux Kamagaté.
Les recherches ouvertes avec l'aide des forces de défense et de sécurité permettent de retrouver l'enseignant mort dans un champ d'anacardier non loin du studio qu'il partageait avec sa petite famille.
Une dépouille sans vie de cet enseignant de Cm1-A, emballé dans un drap complètement maculé de sang avant d'être trimballé jusqu'à cet endroit.
Les présumés auteurs de ce crapuleux crime ont pris le soin d'emporter la moto, la carte magnétique, des numéraires et autres biens de valeur appartenant au couple.
Une enquête a été ouverte pour mettre la main sur ces auteurs présumés de ce crime odieux.
Jean Chresus, Abidjan
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