Côte d'Ivoire : Bouaké, les services de protection judiciaire de l'enfance et de la jeunesse formés sur l'éducation non violente
Les participants à la formation (ph KOACI)
Le Service de Protection Judiciaire de l'Enfance et de la Jeunesse (SPJEJ), des magistrats, la Direction de Protection Judiciaire de l'Enfance et de la Jeunesse (DPJEJ), la Direction des Études, de la Législation et de la Documentation, le Forum des ONG, Save the Children, le Directeur de Cabinet du Ministre de la Justice et des Droits de l'Homme et Renaissance Santé Bouaké, ont été les structures invitées à prendre part à au projet de renforcement de capacité de la société civile pour la promotion et le suivi des droits de l'enfant en Côte d'Ivoire, tenu du mardi 22 au vendredi 25 juin 2021 dans une des salles de conférence de l'hôtel du stade de la capitale du Gbêkê, situé au quartier N'Gattakro.
Initié par le Forum des ONG et Associations d'Aide à l'Enfance en Difficulté, un Réseau Ivoiren pour les Droits de l'Enfant, cette formation des SPJEJ sur l'éducation non violente, eu égard à l'observation générale N°8 des Nations Unies en son paragraphe 11, qui définit les châtiments « corporels » ou « physiques »
comme tous châtiments impliquant l'usage de la force physique et visant à infliger un certain degré de douleur ou de désagrément, aussi léger soit-il, a pour objectif de contribuer à la révision des législations nationales sur les PPH, la violence sexuelle, les MGF et les mariages précoces relativement aux instruments internationaux et régionaux. Spécifiquement, cette formation vise à renforcer les capacités des SPJEJ sur la discipline positive, susciter la volonté des SPJEJ de proposer aux parents coupables de PPH, une alternative d'éducation non violente « la discipline positive au quotidien », et à sensibiliser sur la nécessité de la prise de loi contre les châtiments corporels.
Selon les initiateurs de cette formation, ces châtiments faits aux enfants, que l'on inscrit également dans le lot des Punitions Physiques et Humiliantes (PPH), sont l'une des formes de violence les plus courantes. Elles sont souvent acceptées par les adultes comme étant une méthode indiquée pour éradiquer et discipliner les enfants à l'école, à la maison et dans d'autres situations ou institutions.
Au terme de cet atelier le vendredi 25 juin 2021, les participants venus de différents horizons du pays, ont dit avoir acquis des compétences et des connaissances pour soutenir les parents dans l'éducation de leurs enfants, la volonté d'imposer aux parents coupables de PPH, la prise de cours sur « l'éducation non violente » est suscitée. Enfin, les chefs de services des SPJEJ ont été sensibilisés sur la nécessité de la prise de loi contre les châtiments corporels.
T.K.Emile, Bouaké
tkemile@koaci.com
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Proverbes, 13:24 - Celui qui ménage sa verge hait son fils, Mais celui qui l`aime cherche à le corriger.
J'ai lu la Bible, le Coran et autres écritures saintes. mais je peux te confirmer que "Proverbes" et autres n'apporteront rien de concret dans cette vie pourrie de la jungle .
Proverbes, 22:15 - La folie est attachée au coeur de l`enfant; La verge de la correction l`éloignera de lui.
Proverbes, 23:13 - N`épargne pas la correction à l`enfant; Si tu le frappes de la verge, il ne mourra point.
Proverbes, 23:14 - En le frappant de la verge, Tu délivres son âme du séjour des morts.
Proverbes, 29:15 - La verge et la correction donnent la sagesse, Mais l`enfant livré à lui-même fait honte à sa mère.
Nous ne sommes pas tous des soi-disant religieux. Cesses de nous réciter tes "versets sataniques" qui n'apportent rien a ce monde.
Si vous voulez fabriquer vos robots n'en faites pas universalité.
Rassemblés pour parler d'éducation non violente. Savez vous pourquoi pour les élèves frappent leurs professeurs ? Trouvez vous un boulot, paresseux.
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