Burkina Faso : deux garçonnets violés par un coiffeur et un gérant de vidéoclub
Deux garçonnets de 12 ans ont été violés par deux adultes selon un communiqué de la gendarmerie nationale invitant les parents à prêter attention à leurs enfants.
Il s'agit d'un coiffeur dans un quartier de Ouagadougou, qui en complicité avec un gérant de vidéoclub, se sont rendus coupables d’abus sexuels sur des garçons de 12 ans de la classe de CM1.
Les deux enfants, clients du coiffeur, avaient pour habitude de bénéficier de prestations gratuites, notamment la coupe de leur cheveux.
Ainsi naquit une confiance entre le coiffeur et ses futures victimes qu’ils n’hésitaient pas à inviter à suivre des films pornographiques sur son téléphone portable à son lieu de travail.
C’est ainsi qu’un jour après avoir visionné ces films erotiques avec l’un des mineurs venu se coiffer, il l’amena dans une maisonnette non loin de son salon de coiffure et fit appel à son voisin, gérant de vidéoclub.
Ils commirent alors leur acte ignoble en sodomisant le garçonnet. A partir de ce jour, cela devint une habitude entre le garçonnet et les deux adultes.
Par ailleurs, ces deux adultes commettaient les mêmes actes sexuels avec un autre garçonnet de 12 ans, du même quartier,
faisant également la classe de CM1. Les deux enfants étaient donc devenus les objets sexuels du coiffeur et du gérant du club vidéo.
C’est alors qu’un jour, le frère du premier qui était à sa recherche, se rendit dans le salon du coiffeur sans les y trouver. Tournant alors derrière le salon il se dirigea vers la maisonnette d’à côté où il les trouva en plein acte sexuel (sodomie). Pris de panique, il courut alerter un des parents de la victime.
C’est ainsi qu’une plainte fut enregistrée à la brigade ville de Gendarmerie de Boulmiougou.
Par la suite, le second garçon vient se plaindre des mêmes cas d’actes sexuels en accusant les mêmes auteurs.
Interrogés, ceux-ci reconnurent sans ambages les faits à eux reprochés. Ils ont été placés sous mandat de dépôt en attendant de comparaitre devant la justice.
Boa, Ouagadougou
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Donc il n'y a plus de femmes au Burkina.
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