Après l’annonce la semaine dernière d’une vaccination contre la Covid-19 qui débuterait en mars prochain avec des vaccins Pfizer sortis du chapeau en quelques mois, les interrogations, aussi bien sur la décrétée crise que sur ce dernier, sont nombreuses.

Notamment celles liées au sentiment de servir de cobaye à la thérapie génique, jusque-là testée sur les légumes (OGM, ndlr) mais jamais sur l’homme.

Cette thèse largement partagée dans le domaine scientifique pousse, ces derniers temps, les éminents spécialistes qui n’ont pas de conflit d’intérêt, à réagir et prévenir des possibles risques, à l’image de la généticienne Alexandra Henrion-Claude.

« Ce qui se passe aujourd’hui, c’est que nous sommes dans un essai clinique et toute personne qui est vaccinée par le vaccin Pfizer en cours, répond à un sujet de protocole bio médical, parce que l’essai de Pfizer se terminera en 2022 (selon l’étude protocolisée,ndlr). D’ici là toute personne qui se fera vacciner sera un sujet qui se prêtera à être cobaye.», explique la spécialiste française de l’ARN, ancien directeur de recherche à l’Inserm.

La fondatrice de l’institut Simplicima ajoute : « Parce que je connais l'ARN, l'administrer à des individus sains me parait de l'ordre de la folie, inconcevable compte tenu de la versatilité de cette molécule d'ARN capable d'interagir avec une foultitude de molécules. Le vaccin de Pfizer n'en est pas un, on pourrait l'appeler un vaccin génique expérimental pour pas se perdre, le but est d'injecter une information génétique dans votre corps avec tous les risques que cela comporte. ».

Alexandra Henrion-Claude

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Par ailleurs, en Côte d’Ivoire, pays habitué à vivre avec des virus bien plus dangereux depuis des décennies, cette vaccination annoncée est perçue d’un mauvais œil, principalement en raison des risques possibles d'injection dans nos corps de solutions non sécurisées, mais surtout du fait de l’incompréhension d’une telle entreprise.

En effet, alors que les résultats des tests PCR qui donnent les statistiques de « testés positifs » sont remis en cause au regard de leur manque de fiabilité à grande échelle compte tenu du taux d’erreur, on s’interroge sur une certaine démesure observée quant à cette maladie peu dangereuse au regard de son infime taux de létalité déclaré, mais surtout par le fait qu’on la soigne et ce, sans difficulté selon les médecins.

Notons également que l'entreprise Pfizer avait été condamnée en 2009 aux USA à une amende de 2,3 milliards de dollars pour avoir menti sur 13 médicaments.

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Enfin, en Côte d’Ivoire tout le monde s’interroge sur cette maladie « chantée » partout mais « vue nulle part ».

Amy Touré