Côte d'Ivoire : Affaire du gendarme retrouvé calciné à Yamoussoukro, huit instituteurs stagiaires interpellés, ce que demande leur syndicat au Procureur
L'ex Adjudant Sanogo Seydou
Porté disparu depuis le 31 octobre 2020 suite à l'attaque du cortège du Ministre du Budget et du Portefeuille de l'État, le corps du gendarme calciné et enseveli (au bord de la route), l'ex Adjudant Sanogo Seydou, a été découvert vendredi dernier au PK 6 de l'axe Yamoussoukro-Bouaflé entre les villages d'Abouakouassikro et de Bonzi.
98 personnes ont été interpellées et 44 téléphones portables saisis pour enquête. Les auditions de ces personnes permettront d’identifier les auteurs, les complices et les commanditaires de cette barbarie, a indiqué le Procureur de la République, Richard Adou.
Nous apprenons que, parmi les personnes interpellées se trouvent huit (08) instituteurs stagiaires issus du Centre d'animation et de formation pédagogique (CAFOP) de Yamoussoukro (Cafop).
Le Syndicat National de Enseignement Primaire Public de Côte d'Ivoire (SYNEPPCI) révèlent les noms des concernés.
Il s’agit de : Bakayoko Daouda (Epp Bonzi1) ; Djatchi Gnabro Thierry (EPP Bonzi 2) ; Gnarou Cyrille (EPP Bonzi 1) ; Koffi Serges Patrick, (EPP Yamoussoukro Energie) ; Touré Yoregnouman Fidèle (EPP Bonzi 2) ; Amala Léandre (EPP Bonzi 2) ; Soro Kanifou (EPP Bonzi 2) ; N’Dri Junior (EPP Bonzi2).
Le SYNEPPCI demande au procureur d’accélérer les auditions et de les libérer si leur responsabilité n’est pas établie.
Dans le cadre de ladite affaire, la Gendarmerie Nationale avait lancé un avis de recherche à l'encontre du sieur Balé Antoine, président des jeunes de Bonzi, village situé sur l'axe Yamoussoukro-Bouaflé.
Lors des violences au lendemain de la présidentielle, ici l'attaque d'un cortège à l'entrée de Yamoussoukro
Donatien Kautcha
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On espère que tout se sera également mis en oeuvre pour retrouver tous les auteurs qui, de part et d'autre ont commis des crimes dont celle du jeune décapité à Daoukro. On connait déjà le rattrapage ethnique dans l'administration publique, mais de grâce, ne nous créer pas aussi un rattrapage ethnique chez ces morts à cause de l'entêtement du minabilissime mandela de sindou a faire un 3e mandat.
Que tu le veuilles ou pas justice sera faite...et rapidement
Huit instituteurs...c'est un conseil de classe !?
Les agitations autour de la mort de ce Sanogo disent toute la vérité sur ceux qui l’ont tué; sans doute les mêmes agitateurs qui ont la police, les enquêteurs et le procureur à leurs côtés pour dire ce qu’ils veulent que la vérité soit même si elle n’en était. Mais si vérité il peut en avoir chercher là plutôt avec ceux que le monsieur voyageait ou ceux avec qui il etait en mission; là encore si ces derniers veulent vraiment être des hommes pour dire que la VÉRITÉ.
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