Côte d'Ivoire : A Divo et Gagnoa, Simone Gbagbo apporte son soutien aux manifestations «Quand le peuple n'est pas d'accord, il a le droit de descendre dans la rue »
Simone Gbagbo, deuxième vice-présidente du FPI à Divo (Ph KOACI)
Simone Gbagbo n'a pas changé le discours qu'elle a tenu le vendredi dernier à Bonoua, sa ville natale.
En tournée pour apporter sa compassion aux victimes des marches éclatées contre le troisième mandat du chef de l'Etat Alassane Ouattara, l'ancienne députée a foulé hier samedi le sol de Divo et de Gagnoa pour y livrer son message aux victimes, comme constaté sur place par KOACI.
L'ex-première dame est restée lors de ses rencontres avec les populations de Gagnoa et Divo droit dans ses bottes.
Pour elle, les mouvements d'humeurs contre le troisième mandat d'Alassane Ouattara enregistrés à Gagnoa et à Divo cadrent avec la loi ivoirienne.
"On n'est pas dans l'illégalité quand un gouvernement prend une décision et que le peuple n'est pas d'accord avec cette décision, le peuple a le droit de descendre dans la rue pour manifester son mécontentement. c'est la loi que nous même ensemble nous avons accepté", a déclaré Simone Gbagbo tout en précisant qu'il est important lors de ces manifestations de ne pas provoquer les violences.
"En même temps quand nous manifestons, les autorités ont le devoir, nous qui marchons, d'assurer notre sécurité. Les forces de l'ordre ont le devoir d'assurer la sécurité des marcheurs. C'est ça que le pays doit fonctionner", a affirmé l'ancienne députée d'Abobo qui a tenu à apporter son yako (réconfort Ndlr) aux populations de ces deux villes.
Simone Gbagbo ne s'est pas arrêtée là, elle a encouragé les populations à continuer le combat.
"Je voulais vous dire yako. Nous estimons que ces pertes de vies ne doivent pas être gratuites . Je profite pour vous dire que notre combat ne s'arrête pas là. Nous sommes venus vous témoigner notre solidarité et encore une fois nos félicitations pour le combat", a dit la deuxième vice-présidente du front populaire ivoirien (FPI).
Enfin Simone Gbagbo, qui se rendra également à Daoukro, a milité pour un report du prochain scrutin présidentiel pour permettre aux acteurs politiques et au gouvernement ivoirien à s'asseoir pour mettre d'accord sur les points de divergences qui entachent le processus électoral au Pays.
Jean Chrésus, à Gagnoa et Divo.
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Juste une question Jean Chresus, le même jour, à savoir le 12 Septembre, tu étais à la fois à Yakro pour l'investiture de N'zueba, à Divo et à Gagnoa avec la Madré Nationalé. Mais dit moi, comment tu fais ??. As tu le don d'ubiquité, simple question ???. Mmdrrrrr!!!!!.
Laideur à l'extérieur et laideur à l'intérieur... On comprend pourquoi le pauvre gbagba a préféré la fuir, cette vipère et diablotaine... Ça on comprend...
La constitution de 2000 reglait tous ces problèmes crées par son tripatouillage pour se maintenir au pouvoir. Pauvre nègre!
Pendant ce temps dans une journée ensoleillée à Bruxelles, les amoureux nady et El adj Laurent de promenent en se calinant... C'est beau l'amour
C'est pas go russe. On se bouche pas le nez. Très très belle femme. Belle femme africaine. Et le top elle connait papier pas comme la veuve noire.
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