Côte d'Ivoire : Blé Goudé : « Quand on veut aller dans un village, on parle avec le chef du village »
Charles Blé Goudé, président du Cojep
La chambre d'appel de la cour pénale internationale (CPI) a levée le 28 mai dernier certaines restrictions de l'ancien président Laurent Gbagbo et de son ministre Charles Blé Goudé.
Désormais ces deux personnalités ivoiriennes acquittées, mais en liberté sous conditions depuis février 2019 peuvent aller partout où elles veulent.
Leur retour en Côte d'Ivoire, Pays signataire du traité de Rome, est soumis à l'acceptation des autorités ivoiriennes et de la CPI, sans nul pour cette raison que la camp resté fidèle à Laurent Gbagbo appelle à dialoguer au plus vite avec Alassane Ouattara.
Charles Blé Goudé, président du congrès panafricain pour la justice et l'égalité des peuples (Cojep), a sous les antennes d'un média d'État Français affirmé que son retour au Pays dépend de la volonté des autorités ivoiriennes.
Son retour au Pays «dépend maintenant, il est clair, de la volonté des autorités de mon pays. Ma volonté est de rentrer chez moi, près des miens, près des Ivoiriens, auprès de mes parents, pour que je parte m’incliner sur la tombe de mon père, de mes frères qui sont décédés, des amis qui sont décédés pendant que je n’étais pas là" a fait remarquer celui qui souhaite prendre part au débat politique et à la vie politique de son Pays.
Condamné par contumace à 20 années de prison, Charles Blé Goudé lâche :« Dans tous les cas, que la condamnation à 20 ans soit intervenue ou pas intervenue, j’aurais été même par élégance, j’aurais été même par devoir, obligé de parler aux autorités de mon pays. Quand vous voulez aller dans un village duquel vous avez été absent pendant plus de neuf ans, l’élégance et la politesse, exigent que vous parliez, que vous preniez langue avec les autorités de ce pays-là. Quand on veut aller dans un village, on parle avec le chef du village pour dire qu’on va venir. La Côte d’Ivoire a changé politiquement, elle a changé socialement, derrière moi elle n’est plus la même, c’est un fait. Je dois d’abord prendre langue avec les autorités de chez moi, pour que je puisse rentrer chez moi, si elles veulent bien me le permettre.»
Reste désormais à savoir si, au delà de l'acceptation de la CPI, les autorités ivoiriennes, elles, concentrées sur la crise du Coronavirus et la continuité de leur pouvoir en octobre prochain, prendront ce dossier en priorité ou s'en occuperont "plus tranquillement" après la présidentielle d'octobre prochain.
Jean Chresus
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Ah donc tu reconnais maintenant que ado est le chef lol Vous n'avez rien vu encore, il vous tient.
Oui, tout ça met du temps à se mettre en place, je pense aussi que ça se fera après la présidentielle, actu entre l’élection à préparer et la crise du coronavirus, y'a trop de priorités que celle de leur retour.
EST-CE-QUE, le Bété écoute DIEU quand SATAN lui OFFRE le Paradis ???..... Blé Goudé aurait pu suivre d'ABORD les sages conseils du Chef de son village, quand il avait décidé de suivre AVEUGLEMENT Gbagbo Laurent.................
Est-ce que Gbagbo a envie même de rentrer ? Il est à l'aise là bas avec son épouse et avec corona, vu son age, pas sûr qu'il souhaite rentrer d'ici la.
Roky c'est que tu ne le connais qu'à travers "le patriote". Et c'est tant mieux.
Ahahahahah ado vous regarde même pas vous les digne fils de rci qui allaient soit disant chassé ado ahahahahah je suis versé
T'es sur ????.
Mon frère continue de griller aloko c est mieux tu as trouvé un métier tu vas apprendre le travail tchrrrr
Au tour du Mossi, le woody avait pris un décret présidentiel pour lui permettre de rentrer dans un pays qui n'etait pas le sien.Aujourd'hu, a son tour, lui il fera tout pour que vous rester pour toujour en exil. Allez y a l'ecole du PRADO, celle de la vraie dictatutre sans limite.
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