Côte d'Ivoire : Prévention de propagation du Coronavirus, après le premier jour du couvre-feu, à N'dotré (Abobo), restaurant vides, restauratrices inquiètes
Zone déserte ce mercredi d'un restaurant à N'Dotré habituellement bondé de monde (Ph KOACI)
N'Dotré, village Attié de la commune d'Abobo est connu pour ses lieux de restauration qui, chaque jour sont bondés de monde.
Habituellement, voyageurs, riverains, touristes et amoureux des bons mets ivoiriens se donnent rendez-vous à N'Dotré pour déguster ces plats confectionnés à l'Africaine.
Sauf que ce mercredi 25 mars 2020, au lendemain du premier jour de la mesure de couvre-feu prise dans le cadre de la prévention contre la propagation du coronavirus et de la mesure de fermeture de tous les restaurants, maquis et autres lieux de rassemblement, l'ambiance ici est déserte.
Dans ce petit village d'Abbébroukoi, situé à quelques encablures d'Abobo, ce restaurant qui chaque jour est bondé de monde, manque visiblement de voir ses clients habituels.
Après le couvre-feu d'hier et de la bastonnade de certains individus récalcitrants la nuit, la peur semble avoir gagné plusieurs foyers.
Le constat est là, vide, mais avec quelques clients venus rapidement se restaurer et regagner leurs domiciles à cette mi-journée, le restaurant de cette tenancière, inquiète, n'a plus son ambiance habituelle.
"Vraiment ça ne nous arrange pas, nous qui devons nourrir nos familles au jour le jour. Déjà que l'affaire de couvre-feu-là on ne nous a pas dit quand ça fini et les policiers qui frappent les gens, nous on va faire comment?", s'interroge Véronique Atsé, une tenancière d'un espace de restauration à N'Dotré.
A Abbébroukoi, le moins qu'on puise dire, c'est que les mesures prises par le conseil national de sécurité (CNS), renforcées par celles prises par le chef de l'Etat lors de son adresse à la nation sur la question du Covid-19 semblent avoir eu écho favorable.
Néanmoins, pour assurer leur train train quotidien, restauratrices et propriétaire de petits commerces restent inquiets sur la suite des événements, espérant que les cas de guérisons annoncés et le respect des mesures prises pour éviter la contagion et la propagation soient la voie de l'espoir.
Jean Chrésus
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ma chérie c'est facile pour personne mais comme tu dit on espere que les gens vont respecter et qu'on sorte rapidement de la , sinon si tout tes clients sont contaminés tu les verras peut plus jamais du tout de la vie , donc comme tout le monde faut faire le dos rond, gerer le pays c'est prendre des décisions difficle pas toujours acceuilli avec joie mais c'est aussi ca etre responssable
Le véritable problème de ce virus c'est la com qui est faite tout autour. La femme pose un problème de fond qui est celui de la subsistance. Je le dis et le répète je préfère le corona à la faim car avec le corona c'est 98% de chance de vivre même sans traitement alors que la faim c'est 0%, ce n'est même pas un débat
Yakos... Voilà pourquoi en tant qu'observateur, nous avons insisté et salué les aides pour certains secteurs très vulnérables de notre économie. Voici un exemple, la restauration et hospitalité... On observe...
vous voyez quand y'a des gens qui parlent comme ça sans rien pas d'arguments aucun on lui demande donc de nous présenter ca méthode qui amène a 98% comment vous donnez ce chiffre Einstein.eh puis il dit ca meme dans la cadre des cas qui augmentent hein sans la moindre honte , vraiment !!!
franchement tu ferais mieux de t'instruire mon frère , çà t'évitera d'etre moins béni oui-oui. Meme pas besoin d'avoir le cepe pour un calcul si élémentaire pfff
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