Si on s'en tient à la loi, poursuivi par la justice, Guillaume Soro ne peut, de fait, prétendre à se présenter à une élection présidentielle en Côte d'Ivoire.

Contraint à l'exil depuis le lundi 23 décembre 2019, suite à un mandat d'arrêt international, les mouvements proches du candidat à l’élection présidentielle, le président de Générations et peuples solidaires (GPS), Guillaume Kigbafori Soro, sont toujours à l'œuvre en attendant le retour de leur mentor au pays.

Cependant les VDN, la FMS et l'UJS, mouvements citoyens, considèrent, «que le pouvoir d’Abidjan veut, par ses méthodes d’un autre âge, écarter le candidat favori à l’élection présidentielle. »

Au regard de ce recul démocratique, les VDN, la FMS et l’ UJS assurent le président de GPS que son appel à la résistance politique a été bien entendu et lui rendent hommage pour avoir maintenu sa candidature à l’élection présidentielle malgré les machinations à son encontre.

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Les trois mouvements rassurent SORO de leur détermination à poursuivre l’installation des Comités locaux citoyens (CLC), en vue de son élection le 31 octobre.

Ils précisent que les trois mouvements ont pour ambition d'installer plus de 500 Comités locaux citoyens (CLC) et soutiennent qu'il y’a un acharnement politique contre le candidat du GPS et qui n'épargne plus ses parents biologiques, fussent-ils humanitaires.

«Les personnes incarcérées, persécutées, privées de leurs droits aujourd'hui sont celles qui ont sacrifiées leur jeunesse, posé des actes au péril de leurs vies pour l’accession au pouvoir de ce régime désormais répressifs, » a mentionné le Président, Adams Bilé

Les trois mouvements «invitent le gouvernement à la raison en travaillant plutôt à organiser des élections justes, ouvertes à tous et transparentes. »

Wassimagnon