Sénégal-Guinée: Situation politique à Conakry, à Dakar on invite Sall, Ouattara et Buhari à faire comme avec Jammeh
Les Chefs d’Etat de la CEDEAO
La société civile sénégalaise se mobilise contre un troisième mandat d’Alpha Condé en Guinée. À Dakar, Y en a marre et le Frapp ont invité les Chefs d’Etat de la Cedeao à traiter l’affaire comme il avait fait avec Jammeh, a relevé KOACI.
Présent lors de la conférence du Front national pour la défense de la constitution (FNDC - Sénégal) qui s’est tenu ce jeudi après-midi, l’activiste Guy Marius Sagna a fustigé le silence coupable des chefs d’Etat Africains face à la situation délétère qui règne en Guinée.
Pour le faire, le leader du Frapp France Dégage a fait allusion à la « Jurisprudence » Yaya Jammeh. Et il s’indigne.
« Quand il y a eu le problème avec Yaya Jammeh, ils se sont tous mobilisés comme un seul homme pour mobiliser la CEDEAO… Pourquoi aujourd’hui quand Alpha Condé est en train d’assassiner nos frères et sœurs de Guinée qui sont braves… Pourquoi est-ce que ces présidents-là gardent le silence ?», se demande-t-il.
Une interpellation ferme adressée aux présidents Muhammadu Buhari, Alassane Ouattara, Macky Sall et leurs homologues de la sous-région que le désormais célèbre activiste, Guy Marius Sagna à fait après l’interdiction de manifester aux Guinéens vivant sur le territoire Sénégalais.
Ces derniers décidés à manifester contre ce qu’ils estiment être une forfaiture du président Alpha Condé qui vise un troisième mandat, se sont systématiquement heurtés au silence pour ne pas dire au refus du préfet de Dakar.
Ce que Guy Marius Sagna a jugé scandaleux. «Le préfet de Dakar à cinq ou six reprises a choisi d’imposer une loi du silence à nos frères et sœurs de la Guinée. Nous Sénégalais et sénégalaises, nous avons pris la décision de leur donner la parole. », décrète-t-il.
Poursuivant, l’activiste note : « Nous sommes extrêmement choqués, extrêmement scandalisés d’entendre dire que c’est un africain né au Sénégal qui a dit à d’autres africains nés en Guinée : Ecoutez vous n’êtes pas ici chez vous, vous n’aurez pas d’autorisation. Ecoutez, comme Alpha Condé vous interdit de manifester, le droit que vous n’avez pas en Guinée, vous ne l’aurez pas au Sénégal. Nous dénonçons vigoureusement la posture du préfet de Dakar», fulmine-t-il.
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Donc que devrait faire ces présidents ? N'importe quoi ? N'oubliez pas d'abord et avant tout que c'est une affaire interne. Eh puis, aucun pays ne voudrait voir les violences observées sur le territoire guinéen dans le sien. Au finish, que ces plaisantints comprennent qu'un pays frère ne peut s'immiscer ainsi dans toutes les affaires internes d'un autre pays frère. On observe...
Quand on a un caillou à la place d'une cervelle, les réactions ne peuvent être que primaires...
Et que dire de la situation de Faure Gnassingbé qui veut briguer un 4eme mandat après 38 ans de son père? La Cedeao et l'UA sont discrédités aux yeux des africains et du monde entier. Il faut au maximum 2 mandats à tous les 54 présidents africains peu importe leurs exploits. POINT.
Afin que se construise une confiance de l'opinion publique aussi bien nationale qu'internationale à l'endroit des institutions et des lois fondamentales que nous nous sommes mises à disposition, l'honnêteté intellectuelle et la décence obligent nos Chefs d'Etats à s'y conformer avec rigueur. Cependant lorsque ces dirigeants scandent sans pudeur, de manière récurente, conduire leurs Etats à l'émergence , on peut considérer que seule l'opportunité qu'offrent les normes porteurs de solutions non conflictuelles attachées aux lois fontamentales soit celle à solenniser et non à dévoyer. Générer des crises inutiles et injustes au gré des humeurs abêties conduisa et faire mourir quotidiennement des aspirations populaires , c'est le sentiment noir de ces Chefs d'Etats africains devenus fantassins d'un autre âge qui aident sans cesse à baisser les rideaux pour comprimer le peuple plutôt que celébrer les valeurs de lumière qui aident à gagner la légitimité à savoir, celle d'être perçu comme l'époux de la nation.
Afin que se construise une confiance de l'opinion publique aussi bien nationale qu'internationale à l'endroit des institutions et des lois fondamentales que nous nous sommes mises à disposition, l'honnêteté intellectuelle et la décence obligent nos Chefs d'Etats à s'y conformer avec rigueur. Car, lorsque des dirigeants scandent sans pudeur, de manière récurrente, conduire leurs Etats à l’émergence, on peut considérer que seule l'opportunité qu'offrent les normes porteurs de solutions non conflictuelles attachées aux lois fondamentales, soit celle à solenniser et non à dévoyer. Générer des crises inutiles et injustes au gré des humeurs abêties par le tripatouillage sans fin de la loi fondamentale, c’est faire mourir quotidiennement des aspirations populaires. Le sinistre sentiment de nos Chefs d'Etats devenus fantassins d'un autre âge aident sans cesse à baisser les rideaux pour comprimer le peuple plutôt que célébrer les valeurs de lumière qui aident à gagner la légitimité.
Afin que se construise une confiance de l'opinion publique aussi bien nationale qu'internationale à l'endroit des institutions et des lois fondamentales que nous nous sommes mises à disposition, l'honnêteté intellectuelle et la décence obligent nos Chefs d'Etats à s'y conformer avec rigueur. Car, lorsque des dirigeants scandent sans pudeur, de manière récurrente, conduire leurs Etats à l’émergence, on peut considérer que seule l'opportunité qu'offrent les normes porteurs de solutions non conflictuelles attachées aux lois fondamentales, soit celle à solenniser et non à dévoyer. Générer des crises inutiles et injustes au gré des humeurs abêties par le tripatouillage sans fin de la loi fondamentale, c’est faire mourir quotidiennement des aspirations populaires. Le sinistre sentiment de nos Chefs d'Etats devenus fantassins d'un autre âge aident sans cesse à baisser les rideaux pour comprimer le peuple plutôt que célébrer les valeurs de lumière qui aident à gagner la légitimité.
Tant que leurs maîtres ne disent rien, les sous-préfets ne peuvent que la boucler. De surcroît, ils ne sont pas eux-mêmes des modèles et sont prêts à imiter ce qui se passe en Guinée... La vraie libération du continent Africain passera d'abord par un "dégagisme" général de ces traîtres que nous avons à la tête de nos états et qui se font appelés chefs de gangs, pardon chefs d'état...
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