Côte d'Ivoire : « Affaire des étudiants non-inscrits » bien comprendre l'importance des inscriptions et ré-inscriptions à l'université
L’université de Cocody mercredi (Ph KOACI)
L’affaire des étudiants non-inscrits qui bat son plein en ce moment à l’université Felix Houphouët Boigny de Cocody, nous a permis d’interroger le conseil de ladite université sur l’importance des inscriptions et ré-inscriptions.
Si les concernés évoquent le chiffre de 5000 étudiants non-inscrits, les responsables ne révèlent que 800 cas.
Nous apprenons que, c’est après s’être inscrit qu’on acquiert le statut d’étudiant. Et c’est à partir de ce moment que : L’université reconnait l’apprenant comme faisant partie de son effectif et acquiert le statut d’étudiant.
Il a donc droit d’accéder à l’espace universitaire et participer aux activités pédagogiques. En retour, l’université a l’obligation de lui délivrer un diplôme, un certificat, ou une attestation si celui-ci passe avec succès les évaluations.
« Quiconque n’observe pas cette procédure ne peut être appelé étudiant. Et s’il participe à des prestations de l’université, il le fait de façon frauduleuse et peut s’exposer », explique-t-on. C’est donc le cas des 800 étudiants non-inscrits.
Pour le conseil de l’université de Cocody, il est temps de mettre fin à la culture de la non-inscription qui éloigne des objectifs du système LMD (Licence, Master, Doctorat).
« Pour bénéficier des bienfaits de ce système, l’on a besoin de maîtriser le calendrier académique,. Or cette maîtrise passe nécessairement, entre autres, par la connaissance précise du nombre d’étudiants inscrits pour mieux organiser les groupes de Travaux Pratiques (TP) et des Travaux Dirigés (TD) », poursuit le conseil.
Cette pratique qui consiste à participer frauduleusement aux activités pédagogiques et ne chercher à s’inscrire que lors que son résultats est positif, fausse les statistiques et crée des conflits avec les syndicats lors des calculs pour le paiement des heures complémentaires.
« Ces conflits aboutissent généralement à des grèves qui perturbent sérieusement l’exécution du calendrier académique. Elle nuit par ailleurs gravement à l’image de l’institution qui ne peut prétendre à un classement au niveau international », déplore-t-on.
Comme nous le relevions dans un prétendant article, une perche est tendue aux 800 étudiants non-inscrits de la rentrée académique 2017-2018.
Le Conseil leur propose de suivre la voie de la réintégration ce qui évite l’exclusion et leur permet de reprendre les études là où ils les ont abandonnées.
Donatien Kautcha, Abidjan
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eh oui encore un petit groupe de malin comme par hasard ils sont les seul a pas être inscrits comme par hasard les autres on reussi et eux sont pas inscrit et c'est maintenant étrangement ils se levent mais pas un mot depuis juillet comme c'est etrange loooooooooooool
Toujours de faux problèmes avec les nègres... On a prorogé la date limite 3 FOIS POUR LES NÈGRES supposés étudiants mais rien. Et aujourd'hui ils viennent jouer au sauvage bété blé gouda dans les rues...En plus, il leur est offert une voie de régularisation idoine par sollicitation mais les connards se plaingnent toujours alors qu'ils sont d'abord et avant tout fautifs. Si cela ne tenait qu'à moi on aurait mâté ces clowns...
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