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Côte d'Ivoire: Colère des chevillards de l'abattoir de Port Bouët, voici la raison
© Koaci.com - mardi 28 mai 2019 - 09:23© koaci.com- Mardi 28 Mai 2019-Une augmentation supposée des frais d’abattage à l’abattoir de Port Bouët suscite la colère des chevillards.
Lesdits frais oscillaient avant entre 20.750 et 30.000 de FCFA. Selon les informations en notre possession, le ministère des ressources halieutiques et le District d’Abidjan, ont décidé que désormais pour une opération d’abattage, il sera perçu 22.000, y compris sa part qui reste toujours maintenue à 3000 francs. En somme, les 3000 vont dans les caisses du District et les 19.000 restants chez l’entreprise qui a investi 18 milliards de FCFA pour la modernisation de l’abattoir.
Une décision qui irrite les acteurs du secteur. Ils déplorent un véritable manque à gagner. Car les frais qui leurs étaient reversés par le passé, iront directement dans les caisses de l’entreprise qui s’occupent désormais des tà¢ches qui leurs étaient dévolues.
Avec l’ancien système, les chevillards, payaient 21.000 FCFA par tête de bœuf dont 3000 FCFA pour le district et le reste du montant servant à payer d’autres charges dont le marquage, les frais de la chambre froide, l’habillage (ceux qui dépècent l’animal).
La nouvelle salle d’abattage de l’abattoir de Port-Bouët est fonctionnelle. C’est une salle ultramoderne répondant aux standards internationaux. Du parc à bétail à la salle d’abattage, l’animal à un parcours bien déterminé jusqu’à sa sortie en tant que carcasse, une fois abattu et dépecé.
Pourtant, contre toute attente, les chevillards de l’abattoir refusent d’utilisés la nouvelle salle. Motif, ils estiment élever le prix de 22.000 FCFA par tête de bœuf fixé par le District autonome d’Abidjan, maitre d’ouvrage. Ils ont donc décidés de boycotter la nouvelle salle d’abattage, explique-t-on.
Donatien Kautcha
Lesdits frais oscillaient avant entre 20.750 et 30.000 de FCFA. Selon les informations en notre possession, le ministère des ressources halieutiques et le District d’Abidjan, ont décidé que désormais pour une opération d’abattage, il sera perçu 22.000, y compris sa part qui reste toujours maintenue à 3000 francs. En somme, les 3000 vont dans les caisses du District et les 19.000 restants chez l’entreprise qui a investi 18 milliards de FCFA pour la modernisation de l’abattoir.
Une décision qui irrite les acteurs du secteur. Ils déplorent un véritable manque à gagner. Car les frais qui leurs étaient reversés par le passé, iront directement dans les caisses de l’entreprise qui s’occupent désormais des tà¢ches qui leurs étaient dévolues.
Avec l’ancien système, les chevillards, payaient 21.000 FCFA par tête de bœuf dont 3000 FCFA pour le district et le reste du montant servant à payer d’autres charges dont le marquage, les frais de la chambre froide, l’habillage (ceux qui dépècent l’animal).
La nouvelle salle d’abattage de l’abattoir de Port-Bouët est fonctionnelle. C’est une salle ultramoderne répondant aux standards internationaux. Du parc à bétail à la salle d’abattage, l’animal à un parcours bien déterminé jusqu’à sa sortie en tant que carcasse, une fois abattu et dépecé.
Pourtant, contre toute attente, les chevillards de l’abattoir refusent d’utilisés la nouvelle salle. Motif, ils estiment élever le prix de 22.000 FCFA par tête de bœuf fixé par le District autonome d’Abidjan, maitre d’ouvrage. Ils ont donc décidés de boycotter la nouvelle salle d’abattage, explique-t-on.
Donatien Kautcha
Par Koaci
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3 Commentaire(s)
Côte d'Ivoire: Colère des chevillards de l'abattoir de Port Bouët, voici la raison
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FerDeLance
Alors là c'est pas vrai.pour la différence d'hygiène je pense que les 1000 fcfa en plus c'est pas cher payé
Alors là c'est pas vrai.pour la différence d'hygiène je pense que les 1000 fcfa en plus c'est pas cher payé
il y a 5 ans
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Yassouha Sran
Et ça ce sont encore les burkinabés, maliens, nigériens et nigérians qui dictent leur loi. Ils symbolisent la saleté
Et ça ce sont encore les burkinabés, maliens, nigériens et nigérians qui dictent leur loi. Ils symbolisent la saleté
il y a 5 ans
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