Côte d'Ivoire : Bouaké, face à la grève des enseignants qui perdure, le CEECI, à travers son SG envisage des actions
© koaci.com -Jeudi 28 Février 2019 - À peine réélu à la tête du Comité des Élèves et Étudiants de Côte d'Ivoire (CEECI) depuis le Samedi 23 Février dernier, que Traoré Karamoko, alias TK, secrétaire général national du CEECI, a tenu à faire entendre la position de sa structure sur la crise qui mine l'école Ivoirienne.
C'est à travers une conférence de presse, organisée ce Jeudi 28 Février au campus 1 de l'université Alassane Ouattara de Bouaké comme constaté sur place par KOACI, que le SG du CEECI s'est prononcé et a, par la même occasion, sollicité quelques doléances auprès des dirigeants et des enseignants.
« Du primaire au supérieur, en passant évidemment par le secondaire, nous constatons que notre école, notre unique voie d'apprentissage, ce en quoi nous plaçons notre espoir, est sujette d'une paralysie qui ne dit plus son nom. Les enseignants réclament des conditions de plus en plus améliorées face à un gouvernement qui semble déborder sinon, qui ne réagit presque pas (...)
Nous demandons à nos autorités et nos chers maîtres, de créer de façon urgente une tribune d'échanges, sans bras de fer, afin que ces crises désastreuses connaissent une résolution définitive.
Nous plaidons pour que le professeur Johnson Zamina Bi, porte-parole de la Coordination Nationale des Enseignants Chercheurs et chercheurs de Côte d'Ivoire (CNEC), un syndicat de professeurs universitaires arrêté et transféré à la MACA, soit libéré et reconduit dans l'exercice de ses fonctions (...) En espérant de plein cœur que nous reprenons, le plus rapidement possible, le chemin de l'école dans la quiétude et dans l'esprit d'apprentissage...» déclare le secrétaire général du CEECI.
Par la suite, TK a fait savoir qu'il conduira dès demain Vendredi, une délégation à Abidjan afin de mener plusieurs actions de rencontres et d'échanges, avec tous les acteurs concernés par cette crise, pour enfin, une reprise des cours.
T.K.Emile
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Ce qui semble intéressant parfois, le gouvernement les emprisonne,coupe les salaires, par une méthode qui consiste a les libéré plus tard sous des applaudissements des même Grévistes. Par la suite, la cause de revendication est enterré et mis aux oubliettes. Et on vante la bonne foie de ce gouvernement a libéré les prisonniers syndicale. C'EST UNE AUTRES BRANCHE DE LA DICTATURE VOILÉ.
johonson et son acolyte sont des terroristes qui méritent d'etre traites selon la loi sur des individus terroristes.syndicaliste n'est pas synonyme de libertinage. c'est des rats de cimetière qui doivent etre loges tranquillement a la MACA. ils doivent exclus definitivement du campus.
Oulai tu as oublié de dire qu ils ont signé une trêve syndicale en échange d acquis sociaux mais bon il demande 300 000 moi je te propose qu on leur donne 2000 000 car 300 000 c est rien 70 000 a 300 000 pourquoi 2000 000 allons y au conflit mais dans un conflit y a un gagnant et un perdant allons seulement
Tout ce qui touche l école doit être géré sans passion.Nos enfants sont toujours a la maison .Et c est le peuple qui perd .ceux qui sont au pouvoir n ont aucun enfant dans notre système éducatif a commencer par Mme Kandia. Il faut donc privilégié le dialogue .Une trêve n est pas une loi pour brandir. La trêve c est quand ça ne va pas on demande aux gens de mettre bal a terre .Mais le gouvernement pensent que c'est un bien personnel qu il gère .Vous devez venir expliquez aux travailleurs ce qui ne va pas .Mr Amadou Gon , Mr Dramane Ouattara ,venez secourir Kandia .Elle est en carence d idées.
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